En ces temps qui voient notre pays confronté à des vagues migratoires des plus disparates et numériquement sans précédent, la question se pose de définir clairement ce qu’est l’identité française et qui, parmi les étrangers, a vocation à acquérir notre nationalité. Pour les mondialistes et la racaille dorée aux commandes, l’adhésion aux principes qui sont les leurs (laïcité, démocratie représentative, “Droits de l’Homme”, antiracisme, universalisme…), constitue le fondement même de la citoyenneté française. Il s’agit donc là d’un libre choix et le refus de tout ou partie d’un de ces paramètres entraînerait donc pour l’hérétique l’exclusion d’office de la communauté nationale. Ainsi un congolais clandestin fraîchement débarqué en nos contrées pourvu qu’il adhère au credo bien-pensant serait plus français qu’un paysan berrichon enraciné dans son terroir mais catho-tradi et royaliste. Il va sans dire que nous rejetons totalement cette façon de concevoir l’identité.
Celle-ci ne procédant pas d’une adhésion, sauf dans des cas particuliers pour lesquels les individus concernés se seront réellement assimilés, mais étant le fruit d’un héritage. La valeur humaine n’ayant rien à voir là-dedans. Le clandestin congolais pourra être le plus estimable des hommes et le paysan berrichon le dernier des pourris, le second avec tous ses défauts sera toujours le descendant d’une lignée immémoriale elle-même composante d’un peuple de même mœurs, au passé commun constituant ce qu’il est politiquement incorrect convenu d’appeler une race. Or notre pays se situant au carrefour de l’Europe et à la jonction des ethnies qui la compose, peut-on parler de “race française”? Oui et non. Les celtes, nos plus anciens ancêtres connus, étaient constitués de populations d’origines diverses dont l’arrivée dans ce qui allait devenir la Gaule s’échelonna durant plusieurs siècles, uniquement réunies par un ensemble de croyances religieuses et un modèle de société commun (la tri fonctionnalité prêtres-guerriers-producteurs). En aucun cas il n’est possible d’y soutenir l’existence d’un ensemble ethniquement homogène à l’image de la Germanie ou de la Scandinavie. Par la suite, notre pays a connu sporadiquement des apports migratoires plus ou moins importants numériquement mais toujours, fait capital, leur origine provenait de notre continent et les nouveaux arrivants étaient eux-mêmes issus du même noyau que le notre.
Il ne viendrait à l’idée de personne, y compris de nos pires ennemis, de nier les caractéristiques physiques et comportementales qui différencient telle ou telle croisement canin ou équin. L’homme appartenant lui-même au règne animal, pourquoi en serait-il autrement ? La comparaison ne peut choquer que les nouveaux tartuffes bien-pensants et elle n’a en soit rien de dégradant. Pour qu’un pays soit solide et viable, il doit abriter un peuple homogène et la coexistence sur un même territoire de peuples différents ne peut résulter que conflits. Cela la nature nous l’enseigne tous les jours et les pseudos écologistes en niant cette évidence sont complètement à coté de la plaque. Il arrive toujours un moment où le brassage vient fissurer cette homogénéité, nous ne le nions pas. Si chacun pouvait remonter dans sa généalogie jusqu’à l’époque antique, nul doute qu’il rencontrerait à un moment ou à un autre un ancêtre plus ou moins exotique. Il convient non pas de prohiber le brassage mais de défendre les identités préexistantes au moyen de mesures concrètes. Les nations « multiculturelles » et multi-tout n’ont jamais été qu’éphémères et bien des empires tels Rome, se sont écroulés en grande partie à cause de la dilution de son identité initiale dans un magma de peuples artificiellement intégrés.
Au siècle dernier, à peu près tous les immigrés portugais, espagnols, italiens, polonais ou belges se sont fondus rapidement dans la population française malgré un accueil parfois très hostile, l’absence de connaissance de notre langue et l’inexistence de prestations sociales. Au contraire la plupart des africains, maghrébins ou asiatiques, francophones dans leur majorité, bénéficiant de conditions matérielles nettement plus favorables et parfois présents dans l’hexagone depuis trois générations, paraissent ne jamais pouvoir faire partie pleinement de la communauté nationale. La greffe ne prend pas. Il y a bien sur des exceptions mais celles-ci ne font que confirmer la règle. Au nombre considérable de ces migrants vient s’ajouter un fait religieux constituant un nouveau facteur de difficulté favorisant la communautarisation et le délitement de notre patrie. Nous ne contestons à personne le droit de revendiquer et d’être fier de son identité et n’avons pas la prétention de proclamer notre supériorité envers qui que se soit, mais nous exigeons pour nous ce qui coule de source pour les autres: le droit de vivre sur notre sol entourés de nos frères de souche, dépositaires d’une Histoire commune et désireux de construire un avenir meilleur pour nos enfants. Si nous jugeons certains individus dignes de rejoindre nos rangs, il n’est pas question pour nous, au nom de principes abstraits et suicidaires, de nous laisser submerger.
Il va sans dire que si le destin nous donnait l’occasion d’arriver au pouvoir, notre tache prioritaire serait de réduire d’une façon drastique mais de la manière la plus humaine possible la proportion d’allogènes présents sur notre sol. Malheureusement il est certain que ce résultat ne pourra être atteint sans confrontations. Les promoteurs de l’émigration invasion que nous subissons en seront les premiers responsables et devront rendre des comptes.
Source : Rossel
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