mardi 25 novembre 2008

Catastrophe pour le FN : Martial Bild a démissionné

Nous venons d'apprendre la démission, pour des raison personnelles, de Martial Bild ce matin de toutes ses responsabilités au sein du Front national. Martial Bild était le responsable du FN sur Paris. Nous apprenons aussi que Louis-Armand de Béjarry, membre du comité central du Front national (et ancien responsable national du FNJ), aurait démissionné du poste de secrétaire départemental du FN en Loire-Atlantique.

Selon Libération de ce jour, Bruno Gollnisch aurait aussi envisagé de démissionner mais sa demande aurait été refusée.

http://synthesenationale.hautetfort.com/

dimanche 23 novembre 2008

Pierre Vial apporte son soutien à Carl Lang

Le Front National n’est pas une maison de commerce dont la famille Le Pen serait propriétaire. Le Front National est un mouvement qui appartient à tous ses militants. C’est à eux, dont j’ai longtemps fait partie, que je m’adresse pour les appeler à soutenir l’action de Carl Lang, qui incarne aujourd’hui l’espoir de refondation d’un FN revenant à ses idéaux des origines, qui ont fait son succès quand il traduisait les espérances de tant de Français.

Carl Lang a toujours représenté, au sein du FN, ceux qui se préoccupaient d’une politique sociale digne de ce nom, sur une base clairement hostile à un libéralisme cosmopolite responsable de l’actuelle crise financière et économique, qui va frapper de plein fouet, par le chômage et la précarisation, des millions de familles françaises. L’avenir d’un FN refondé passe par une ligne clairement nationale-populiste, par un combat sans compromis ni concession contre le Système en place et pour une Europe des peuples, puissante et libre donc libérée de la tutelle américaine.

Pierre VIAL

Ancien membre du Bureau Politique du Front National

Conseiller régional de Rhône–Alpes de 1992 à 2004

Président du mouvement Europe-Identité

Carl Lang : Le FN réel contre le FN légal ?



Pour plus d'info : http://www.agence2presse.eu/Videos/Videos.html

Cet homme ne peut trahir !

Cet homme ne peut trahir !

vendredi 21 novembre 2008

Lang - Le Pen - Gollnisch


Qui peut se comparer à ces hommes d'honneur ?!

Hommage à un homme qui ne trahira jamais !

Bruno Gollnisch est un Samuraï, un vrai, jamais il ne trahira le daimyo à qui il a tant sacrifié. Petit rappel de qui est cet homme fidèle à jean-Marie LePen, aujourd'hui mis à l'écart !
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Né en 1950, marié et père de trois enfants, Bruno Gollnisch est issu d'une famille de l'Est de la France, de ces régions qui connaissent le prix de la liberté et de l'indépendance de la nation. En 1870, son trisaïeul, Edmond Gollnisch, futur maire de Sedan, fit face héroïquement aux exigences allemandes quand l'Empereur Napoléon III et l'armée française y furent submergés.Trois fois en un siècle, la maison familiale fut occupée, puis finalement brûlée par l'occupant. L'un de ses arrière-grands-pères, Emile Flourens, ministre des Affaires étrangères, dont le frère Gustave était mort en chef militaire de la Commune, avait fait reculer Bismarck en 1886 et fut l'initiateur de l'alliance franco-russe de 1896.Par son oncle, Paul Viard, ancien doyen de la faculté de droit et député d'Alger, il connaît le drame de millions de nos compatriotes français chrétiens, musulmans, israélites d'Algérie, égorgés ou chassés par les terroristes du FLN, et il en est révolté.Très jeune, il entend parler pour la première fois d'un député courageux qui a préféré s'engager que de rester à l'Assemblée Nationale : un certain Jean-Marie Le Pen.
UNE SOLIDE FORMATION

Après des études à Paris, où il fut primé au Concours Général de la jeunesse francophone, Bruno Gollnisch entama des études supérieures de droit, de sciences politiques et de Langues Orientales , dans l'intention initiale de devenir diplomate.Dès son entrée à la faculté de Nanterre à 17 ans, il assiste au saccage, en 1968, par de jeunes bourgeois gauchistes, des universités nouvelles construites grâce au sacrifice de tous les Français, même les plus modestes.Il conçoit l'horreur du marxisme et des idéologies révolutionnaires. Il réalise la fragilité de nos sociétés modernes, l'embrigadement de la jeunesse par la gauche, le déclin de l'intelligence française, et tout ceci le pousse à s'engager alors dans la vie civique.

A la faculté de Nanterre, Bruno Gollnisch a fait la connaissance de Marie-France et Jean-Pierre Stirbois. Avec eux, il rencontre un homme d'un immense courage qui lutte pour la défense du monde libre contre le communisme : Roger Holeindre.

Un jour, il ira avec eux à une réunion publique. Jean-Marie Le Pen prend la parole. Son choix est fait.
AU SERVICE DE LA PATRIE
En 1971, il interrompt ses études et résilie son sursis pour rejoindre la Marine Nationale.Breveté de Préparation Militaire Supérieure, aspirant dès son incorporation, il devient six mois plus tard le plus jeune officier de sa promotion.
Il sert successivement à l'École des Transmissions, sur le Navire d'Essais de Missiles Henri Poincaré, notamment lors de la Conférence au Sommet entre les Présidents américain Nixon et français Pompidou aux Açores, puis au 2ème Bureau de l'État-major (Opérations-renseignement), sur le Chasseur de Mines Calliope dont il participe à la première croisière, et enfin comme aide de camp du Vice Amiral d'Escadre responsable des Essais de la Flotte.
Toujours fidèle à ses engagements, Bruno Gollnisch est aujourd'hui Capitaine de Frégate de réserve.
AU PAYS DU SOLEIL LEVANT

En 1974, financé par le Ministère des Affaires Étrangères français, il est admis comme attaché de recherche à la Faculté de droit et des Sciences Politiques de la prestigieuse Université de Kyôto au Japon.

UNE CARRIERE UNIVERSITAIRE

Il entame à son retour du Japon une carrière universitaire et libérale. Docteur en droit, lauréat de l'Université de Paris, il devient Conseil juridique puis Avocat. Diplômé des langues orientales (japonais, malais, indonésien), il est l'un des spécialistes français des droits de l'Extrême-Orient.

Après avoir créé le cours de droit des pays d'Extrême-Orient à la faculté de droit de Paris, et celui de droit du Japon à l'Institut des Langues Orientales, il est nommé Maître de Conférences de droit public à l'Université de Metz, puis en 1981 Professeur de langue et de civilisation japonaise à l'Université de Lyon, où il devient peu après le plus jeune doyen de France.

AVEC JEAN-MARIE LE PEN

Son séjour dans la Marine et au Japon puis sa carrière universitaire l'ont éloigné de Paris, mais les amitiés ne s'oublient pas.

En janvier 1984, la presse remarque la présence du doyen Bruno Gollnisch qui accueille Jean-Marie Le Pen au cours d'une triomphale réunion lyonnaise du Front National.

Peu après, Jean-Pierre Stirbois, Secrétaire Général du Front nomme Bruno Gollnisch Secrétaire Départemental du Rhône.

Dans les conditions difficiles d'alors : manifestations hostiles, absence totale de moyens, il organise les européennes de 1984, les cantonales de 1985, les législatives et les régionales de 1986. Il est élu député et conseiller régional.


Pour en savoir plus: http://www.gollnisch.com/



Rappelez-vous c'est cet homme là que l'on veut faire passer pour traître !




A propos de Carl Lang : Le 11 septembre 2007, plusieurs partis politiques et organisations d’Europe s’étaient rassemblés en vue d’une marche pour honorer ceux qui sont morts dans les attaques commises (parait-il) par des extrémistes musulmans il y a 6 ans. La marche était également conçue comme une protestation contre l’islamisation toujours croissante de notre continent.


Afin de satisfaire son électorat musulman, le maire socialiste de Bruxelles, Freddy Thielemans, dit « Fred le Rouge », a interdit la marche. Puisque elle était interdite, deux ou trois cent personnes, dont plusieurs parlementaires belges et européens, se sont rassemblés dans deux endroits différents de Bruxelles. Fred le Rouge envoie alors la police pour réprimer brutalement ce paisible rassemblement : après tout, les personnes n’étaient-elles pas coupables de ne pas partager son point de vue, du moins celui de son électorat ?


Environ 160 personnes ont arrêtées, qui n’avaient pourtant commis aucun crime ! Les diverses protestations n’ont rien changé. Parmi ces personnes, il y avait l’attaché de presse d’Altermédia, Kris Roman, uniquement présent pour filmer l’évènement. Plus fort : la police a également arrêté, et ce en toute illégalité, plusieurs parlementaires européens, en dépit du fait qu’ils soient protégés par une immunité parlementaire. Si ça c’était produit en Russie, ça aurait au moins fait la une des médias occidentaux, le gouvernement fédéral des Etats-Unis et la Commission européenne auraient grondé Poutine, en rappelant les sacro-saintes règles de la Démocratie, des droits imprescriptibles de la Presse et de la libre expression ! Mais, curieusement, nul n’a soufflé mot de ce qui s’est passé à Bruxelles, la capitale néosoviétique de cette Union européenne proclamée « champion de Droits de l’Homme » ! Presque tous les médias traditionnels, à l’exception notable des médias flamands, ont minimisé, voire ignoré cette violation illégale et brutale des libertés fondamentales.


Le traitement des prisonniers fut tout aussi disproportionné. Notre correspondant, Kris Roman, a partagé sa cellule avec onze autres prisonniers. Ils ont dû partager deux bouteilles d’eau et n’ont obtenues qu’une gaufre chacun pendant les huit heures de détention. Les conditions étaient si mauvaises qu’un détenu a eu une crise cardiaque.


Kris Roman a réussi à conserver sa camera dans sa cellule, et n’a pas hésité à s’en servir. Sur le premier film, nous pouvons voir plusieurs députés décrire leurs cellules, parmi lesquels le Président du Vlaams Belang, Frank Vanhecke, le député européen Filip Dewinter et le député européen Carl Lang (France). À la fin de la vidéo, vous voyez l’homme évacué de la prison après sa crise cardiaque.


A l’occasion d’un entretien avec maître Hugo Coveliers, l’avocat qui a négocié la libération des prisonniers, Kris Roman a insisté sur le fait que Freddy Thielemans s’est retrouvé prisonnier pendant plus de 12 heures, ce qui est le maximum légal de détention sans justificatif. M. Coveliers a immédiatement informé Fred le Rouge que dans ce cas-ci, la ville de Bruxelles devrait leur fournir des repas appropriés. Ainsi ils ont décidé de le libérer après huit heures à la place !


La deuxième vidéo-choc provient de la TV flamande. Vous pouvez voir M. Vanhecke, un des hommes politiques les plus importants de Belgique, et le député flamand Dewinter, être assaillis par la police. L’ironie est que la police prévoit de déposer une plainte contre M. Dewinter pour résistance à son arrestation illégale. Il était en effet protégé par son immunité, et ne pouvait sans raison être arrêté ainsi.


Le gouvernement italien a publié une protestation formelle pour l’arrestation d’un de ses députés européens tandis que le gouvernement français, fidèle en dépit des admonestations tous azimuts de Charkeuzy, feint à son habitude d’ignorer qu’un de ses parlementaires, élu sur une liste Front national, a été emprisonné illégalement.


Cet événement, destiné à se répéter, prouve magistralement que nous ne devrions jamais considérer notre liberté comme acquise. Mais maintenant, grâce à Internet et à la « Web révolution », nous pouvons compter pour dire la vérité sur nos propres médias, et non nous reposer sur ceux qui sont aux ordres de Big Brother.

Source : Altermedia

« Allume le Feu sacré, relève notre rêve ! »

L’annonce de ma candidature à l’élection européenne de 2009 ayant, semble-t-il, provoqué une certaine agitation des esprits, il me paraît aujourd’hui nécessaire et utile de préciser ma démarche et le sens de cet engagement.

Ce n’est, j’imagine, une surprise pour personne de me voir engagé activement dans la bataille politique de la campagne européenne qui est, avec l’élection présidentielle et les élections législatives, une bataille stratégique pour l’avenir de la France et des Français.

Ce n’est, j’imagine, une surprise pour personne que je mène cette campagne électorale dans la circonscription du Nord-Ouest ( Normandie, Picardie, Nord-Pas-de-Calais) dont je suis un élu régional et européen, où se trouvent toutes mes attaches familiales et personnelles et où j’ai milité pour le Front national depuis 1978, tout d’abord en Normandie, puis depuis 1992 dans le Nord-Pas-de-Calais. J’ai été, depuis 1984, seize fois candidat sous l’étiquette Front national et toujours sur ces terres du Nord-Ouest.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’ai, en respectant les procédures internes, officiellement sollicité l’investiture du Front national par un courrier adressé à son président en date du 28 mai 2008. Il se trouve que le 11 septembre 2008, soit cinq semaines avant la réunion de la commission d’investiture, dans un entretien donné au journal Valeurs Actuelles, le président du mouvement, qui est aussi le président de la commission d’investiture, a indiqué publiquement que sa fille devait conduire la liste européenne du Front national dans le Nord-Ouest.


Comment dans ces conditions, après une telle violation et un tel mépris des procédures internes, ne pas considérer que la commission d’investiture du 17 octobre n’était plus rien d’autre qu’une mascarade visant à “officialiser” a posteriori une décision déjà prise et annoncée ? Comment dans ces conditions, ne pas parler de préférence familiale, de dérive familiale, de Front familial ? Qui ne contesterait pas une décision de justice qui aurait été prononcée par le président du tribunal avant même que ne se déroule l’audience ? Qui ne serait pas indigné par ces méthodes ?

Mais au-delà de ces questions de forme, qui sont finalement secondaires, se posent les questions essentielles : la question humaine et la question politique. La commission d’investiture m’a proposé de figurer en deuxième place derrière Marine Le Pen. Mais il se trouve, et je le regrette pour la cause nationale, que je n’ai plus aucune confiance, ni politique, ni humaine en Marine Le Pen.


Depuis que celle-ci a déclaré sur une radio “je me désolidarise sans ambiguïté des propos de Bruno Gollnisch” (propos qu’il n’a d’ailleurs pas tenus) au moment où celui-ci était victime d’une campagne médiatique de désinformation et de lynchage lui valant la suspension de son activité universitaire, depuis que Marine Le Pen s’était mise “en retrait” des instances dirigeantes du mouvement au moment où une campagne anti-Le Pen se développait suite à un entretien donné par le président du Front national au journal Rivarol, je n’ai plus confiance en ses capacités de résistance à la diabolisation et de solidarité dans l’épreuve.

Je considère enfin que lorsqu’on prétend vouloir être candidat à la présidence de la République, il faut d’abord avoir le courage et la volonté de défendre ses mandats, en particulier lorsque le Front national ne dispose dans la région Ile-de-France, première région de France et région capitale, que d’un seul siège de député européen. Ce n’est pas en abandonnant son poste, du fait d’un risque électoral potentiel, que l’on montre le chemin de l’engagement et du nécessaire combat des idées.

Depuis la dernière campagne présidentielle dont elle assumait la direction stratégique, j’ai perdu confiance en ses qualités politiques. Je considérais, qu’au moment où Nicolas Sarkozy “lepenisait” ses thèmes de campagnes, il était absurde de “délepeniser” Le Pen par une communication qui a pris notre électorat à contre-pied.

Je n’ai pas oublié la déclaration de Marine Le Pen dans le Figaro du 12 décembre 2006 : “la candidature de rassemblement du peuple français débarrassée des spécificités religieuses, ethniques ou même politiques, c’est la candidature de Jean-Marie Le Pen”. Cette phrase résume à elle seule l’esprit de la dernière campagne présidentielle et explique toutes les dérives dont la malheureuse déclaration de la “dalle d’Argenteuil”. Je suis en désaccord total avec cette ligne politique et cette recherche à tout prix de la normalisation médiatique.


On ne peut pas mener le combat politique sur nos idées sans devoir affronter la diabolisation orchestrée par les adversaires de la cause nationale. J’avais adressé le jeudi 29 mars 2007, lors d’une mini-session au Parlement européen le billet d’alerte suivant à Marine Le Pen : “Il faut cogner sur les questions d’immigration et d’insécurité. Nous paraissons aujourd’hui plus modérés que Sarkozy ; c’est le comble ! Dans ces conditions à quoi sert-il de voter Le Pen ?”. Ma mise en garde est restée lettre morte et le résultat du scrutin a malheureusement confirmé mes craintes.

Puisque le mot “gamelle” semble être très à la mode, ces jours-ci, sur le site internet du Front national, je considère que la stratégie de campagne de 2007, contrairement à celle de 2002, a été façonnée dans le zinc politique dont on fait les “gamelles” électorales qui font mal lorsque vous les prenez.

Voilà pourquoi il est évidemment exclu que je puisse figurer sur une liste politique menée par Marine Le Pen. Ni les perspectives d’élection à la deuxième place, ni la proposition qui m’a été faite de me payer pendant deux ans en cas d’échec électoral ne peuvent rien changer à cela.


Si j’avais accepté ces propositions, dont l’offre financière que je trouve insultante, il m’aurait fallu renier toutes mes convictions et trente ans d’engagement politique au service de la cause nationale et européenne.


Ce n’est pas le cas ! Et ce n’est pas le cas des nombreux militants, cadres et élus du Front national qui s’engagent à mes côtés dans cette bataille électorale, choqués par le mépris et la violence verbale dont ils sont l’objet.

Je souhaite enfin rassurer tous les militants du Front national attachés comme moi à ce qu’a été l’action politique de Jean-Marie Le Pen et attachés aux souvenirs de toutes les batailles politiques passées et des épreuves surmontées ensemble.


Je n’ai nullement l’intention d’organiser un quelconque “putsch” visant à contester la présidence de Jean-Marie Le Pen à la tête du Front national.


Pour éviter d’ailleurs toute ambiguïté à ce sujet et depuis que j’ai quitté, à la demande de Jean-Marie Le Pen, le secrétariat général en octobre 2005, je me suis consacré volontairement et exclusivement à l’activité politique au profit du Front national et ce en dehors de toute intervention relative aux questions de fonctionnement interne.

Je rappelle que, depuis trente ans, mon soutien politique et mon engagement n’ont jamais fait défaut au président du Front national et ce, dans mon cas, en toutes circonstances, y compris durant les périodes les plus difficiles, notamment pendant l’hiver 1998-1999 et en mars et avril 2002 lors du recueil des signatures de maires indispensables à la candidature à l’élection présidentielle. Ceux qui me connaissent, connaissent mes convictions et connaissent l’histoire du Front national peuvent en témoigner. Et c’est pour moi cela l’essentiel.
Quant aux autres, les insultes qu’ils déversent sur le site du Front national m’indiffèrent. J’observe d’ailleurs avec amusement que les plus zélés sont, comme toujours, ceux qui ont le plus besoin de faire oublier leurs errements passés.
Je préfère le Front national “canal historique” que j’ai connu à ce Front national “canal hystérique”.

Un dernier mot pour vous dire que je me serais fait un plaisir, si on me l’avait proposé, de mener campagne dans ma région en figurant en dernière place sur une liste conduite par Jean-Marie Le Pen ou Bruno Gollnisch.

En espérant avoir répondu à vos légitimes interrogations, je vous prie de croire, chers amis, en l’expression de mes meilleurs sentiments nationaux et pour beaucoup d’entre vous personnels et amicaux.



Carl LANG