mercredi 31 décembre 2008

Bonne année 2009, ensemble vers l'avenir !

De 2007 à 2009, que s’est-il passé ?

Au sein de la société actuelle, le nationaliste possède une mission. Il lui faut agir pour repousser les frontières de la liberté de penser. Il doit asséner la vérité au maximum. C’est à lui d’étendre toujours plus le champ d’action des esprits libres. La vérité est incompatible avec les valeurs capitalistes et marxistes. C’est elle qui fera imploser le pharisaïsme des temps modernes. En parallèle, le patriote doit créer des structures sociales libres. De cette manière, l’ordre naturel se rétablira. Le nationalisme c'est la civilisation, le mondialisme c'est la décadence.

En ce sens, l’élection présidentielle de 2007 était une chance. Un score important aurait pu servir nos rangs. Il aurait pu rappeler la « victoire » de 2002. Comment ne pas se souvenir de cette courte mais efficace libération des consciences ? Ah… L’entre-deux tours ! Les manifestations anti-Le Pen prenaient un coté grotesque. Les professeurs expulsaient (comme d’habitude) les élèves des classes pour « lutter contre la bête immonde ». Des enfants de 8 ans portaient des pancartes « Le Pen une balle, le Fn une rafale » bien trop lourdes pour eux. On pouvait annoncer à son voisin que l’on votait FN. Ulcéré, il l’était encore plus lorsque son épicier lui avouait faire pareil ! Mieux, les anti-Le Pen se plaignaient des anti-Le Pen. L’espoir fut grand, il fut beau. On se rêvait à foutre dehors tous ces pilleurs qui gouvernent encore ce pays. Mais… qu’en reste-t-il ? Quelque soit notre avis sur la campagne de 2007, Jean-Marie était notre seul candidat. Mégret lui-même a rejoint cette position. L’union des patriotes était une bénédiction et une réalité. Elle fut malheureusement conspuée puis brisée. L’intelligentsia nationale laissa beaucoup parler les anti-Le Pen de la mouvance, au détriment de ceux qui le défendaient. Associée à la campagne mariniste de « la beurette », le mélange fut explosif. En paye-t-on actuellement les conséquences ?

Bizarrement, cette ligne éditoriale que l’on pouvait justifier dans le cadre de l’élection de 2007, se poursuit. Il semblerait que l’intelligentsia nationale en prenne désormais le parti. Y a-t-il eu, entre temps, une réorganisation des médias nationaux ? Ou bien serait-ce toujours aux épurateurs d’avoir le dernier mot ? Oh, j’en conviens, notre prise de position pour Carl Lang est risquée. Au même titre, il était risqué de soutenir Le Pen en 2007. Mais il avait besoin de nous, nos idées avaient besoin de lui. Des hommes comme Le Pen ou Jörg Haider sont vitaux à la liberté d’expression. Peu de gens le réalisent, y compris dans nos rangs. Sans eux, elle aurait reculée plus vite qu’elle ne l’a fait. Toutes ces paroles jugées provocatrices, toujours désavouées par les mêmes, furent parfaitement salutaires. Nos idées sont la dernière opposition des hommes libres. Alain Taillepied, responsable DPS (pro-Lang), l’a parfaitement rappelé : des hommes sont morts pour nos idées. Et ça ne se passait pas il y a 60, 100 ou 200 ans. Ça se passait il y a tous justes 10 ans. Récemment encore, le jeune Thomas a faillit être assassiné parce que militant au Renouveau Français.

Alors qu’est-ce qui importe le plus ? Suivre une énième fois l’avis médiatique ou défendre Carl Lang ? Lutter pour un FN light, en éternelle voie de dédiabolisation et d’épuration, ou servir nos idées au nom d’une provocante liberté ? Tous les évènements de ces dernières années l’ont démontré, la fidélité revient à Carl Lang. Il suffit de comparer les biographies. Comme lui, nous restons fidèles à un homme avec qui nous avons désormais un désaccord. On ne peut accepter la succession familiale. Se serait un meurtre intellectuel que de le faire. Nos idées valent plus que leurs profits. Le Pen n’appartient pas à Le Pen. Il appartient au peuple ! Le Front National a lutté pour ça. Les militants ont parlé, les expulser du mouvement ne sert à rien. Aussi vrai que l’UMP n’est pas le MPF, Marine n’est pas Jean-Marie Le Pen. Ce n’est pas le groupe France-Israël qui dira le contraire. Eh oui, comme l’a rappelé le président du FN : « Le FN est le syndicat de tous les Français ! ». Ce n’est pas un parti comme les autres. Il ne doit pas le devenir. La France est blanche, de civilisation catholique et de culture grecque et latine. Si même De Gaulle en était conscient, au nom de qui devrions-nous la trahir ? C’est que, comme disait Scarlett O’hara : « La terre, elle, ne ment pas ! »

Les voeux de Jean-Marie Le Pen pour 2009

Une bien curieuse méthode...

Un militant pro-Lang nous fait part de son indignation. Il nous apprend que son nom, prénom, adresse et numéro de téléphone viennent d’être donnés en public sur un blog en synonyme de délation. Il affirme qu’un certain « Le Chef » du Forum Des Patriotes où il fut inscrit durant près de 3 ans (2005-2008), l’avait déjà menacé d’un tel acte. Ce militant aurait d’ailleurs gardé copie de la menace. Quoi qu’il en soit, nous n’en savons pas plus. Mais si l’information s’avère être exacte, cette méthode paraît bien basse…

http://img90.imageshack.us/img90/5124/delation2cp0.jpg
Après protestation de ce dernier, l'adresse s'est multiplié. Au hasard, quelques exemples :
La rédaction espère donc que ce n'est pas à ce genre de procédés que servent les fichiers militants.
Aux vues des insultes, il s'agirait des mêmes termes et des mêmes menaces employés par « Le Chef » en 2008. Sa seule faute, à l'époque, était d'appartenir à un mouvement non-mariniste (il était pourtant également militant actif du FNJ). Nous espérons donc, pour l'avenir de notre mouvance, que cette affaire va se tasser rapidement. Ce genre d'intimidation ne fait d'ailleurs que nous conforter dans nos certitudes !

Exemple de propagande avec le néo-conservateur Alexandre Adler



mardi 30 décembre 2008

Dieudonné ? Du Grand Desproges !

Jean-Marie Le Pen l'a confirmé, Vassieux est un gaffeur ! A noter que Nationspresse (dirigé par ce dernier) vient de faire paraitre un article de dénonciation contre monsieur Faurrison. Il considère ce dernier comme "ennemi du camp national" en accusant son engagement de jeunesse (vu son âge !). Si tel est le cas on se demande bien pourquoi ils ont cloturé les commentaires... et pourquoi ils encensent le marxiste Soral ! En Bref : Le président du Front National, qui était bien au spectacle, a jugé "un petit peu choquant" l'insolence (l'insoumission ?) de Dieudonné M'Bala M'Bala. Evidemment, les médias staliniens sortent toujours de leurs contextes les phrases ou les citations qui les arrangent. Quoi qu'il en soit, si c'est bien la traduction des pensées de Le Pen, nous affirmons ne nous désolidariser en rien du courageux Dieudonné. Ce qu'il a fait, ce n'est pas de l'antisémitisme ou du racisme (que dire par contre des multiples agressions du bétar à son encontre ?). Ce qu'a fait Dieudonné, c'est du GRAND DESPROGES ! Du Très GRAND COLUCHE ! Du tout petit LOUIS DEFUNES ! Comment pourrait-on se désolidariser d'un homme qui, par son métier d'amuseur public, libère les consciences ? Notre rôle n'est-il pas de dire vrai ? C'est ce qui a toujours rendu le FN si fort. Ce fut durant longtemps l'essence même de son combat. Carl Lang, qui est la continuité de la mouvance nationale de toujours, ne peut s'en désolidariser. Ci-dessous, Dieudonné durant son spectacle :

Staline admiratif ! Interrogatoire "policier" pour Julien Lepers...

Tele-Loisirs.fr. Confirmez-vous être allé voir le spectacle de Dieudonné qui provoque tant de remous ?

Julien Lepers : Oui et je ne m'en cache pas : j'ai quand même le droit d'aller voir qui je veux pour me faire mon opinion, merde ! J'assiste à une centaine de spectacles par an. Il y a trois jours, j'étais chez Pinder. Est-ce qu'il faut aussi que je m'en justifie ?

Mais vous savez bien que ce spectale du Zénith n'était pas anodin. Quelle "opinion" vous êtes-vous fait après avoir vu un hommage à un théoricien qui nie l'existence des chambres à gaz avec un technicien "déguisé" en victime de l'Holocauste ?

Que les choses soient claires : je ne cautionne pas les provocations de Dieudonné même si, par ailleurs, c'est un humoriste talentueux dont certains sketchs m'ont fait mourir de rire. Quand il a commencé ses conneries avec Faurisson, je me suis levé pour partir. D'ailleurs, j'étais en train de partir puisque c'était tout à la fin du spectale.


Vous n'avez donc pas participé au petit buffet organisé après pour les VIP ?

Mais jamais de la vie ! Vous rigolez ou quoi ? Je voulais voir sur scène cet humoriste controversé, je l'ai vu, je me suis fait mon opinion puis je suis reparti, comme les 5.000 autres spectateurs qui se pressaient dans le Zénith. Il faudrait peut-être que vous interrogiez aussi tous ces gens-là, non ? Allez, salut !

Julien Lepers, un ennemi public

C'est une terrible descente aux enfers que va connaître l'animateur de télévision, de radio et auteur-compositeur Julien Lepers. Mais quelle faute impardonnable a-t-il commise pour se retrouver en Une des journaux de France et de Navarre sous un jour qui ne lui est pas tellement favorable ? Tout simplement le présentateur de la célèbre émission de France 3 " Questions pour un champion " depuis vingt ans a assisté vendredi soir dernier au spectacle de Dieudonné au Zénith de Paris où ce dernier a remis un trophée à Faurisson.
C'est donc ainsi : si on est célèbre par la grâce du petit écran ou par son aura politique il est désormais interdit à quiconque qui correspond à ce profil de se rendre à un spectacle de son choix. Les journaux et les sites internets du Système vont certainement tirer à boulet rouge sur Julien Lepers. Pourtant il est bien précisé dans le monticule de textes ( dont la déclaration universelle des droits de l'homme ) qui régit notre société que tout citoyen est libre de se rendre là où il souhaite dans la mesure où il ne représente pas de danger pour autrui, sauf en cas de mesures d'exception telles que décrites par l'article 16 de la Constitution de 1958...
Est-ce que Julien Lepers est devenu ( à l'image du malheureux Julien Coupat et de son amie qui ont mélangés recettes de cuisine et recette d'explosif ) un ennemi public n° 1 ? La France serait-elle soumise en secret à la loi d'exception, l'article 16 ?

Source : Yann Redekker

La devise des peuples insoumis : « libre...

»

lundi 29 décembre 2008

Le FN pourrait-il devenir sioniste ? C'était en 2006 : "Marine change le Front National"

Article paru sur novopress-lyon, le 28 février 2006 :
Le Front National représenté par M. Sulzer, Marie-Christine Arnautu, conseillère régionale (amie de Marine Le Pen) et une dizaine d’autres frontistes, était présent au coeur de la manifestation en la mémoire d’Ilan ce dimanche à Paris. Si on en croit le Monde du 28 février, les représentants du FN étaient “sous la protection de deux militants de la Ligue de défense juive(1)”. Cette présence est une véritable révolution politique et sociale, car comme le clama l’un des 2 protecteurs du cortège des Frontistes : “Ce n’est pas le FN ou Villiers qui sont antisémites, ce sont les mouvements gauchistes pro-palestiniens. Avec eux aujourd’hui on a les mêmes ennemis“.

Ce rapprochement du Front National avec la communauté juive est à l’initiative de Marine Le Pen, Vice-présidente de ce parti. Sûrement encouragé par les propos tenus par Roger Cukierman, président du CRIF, dans un journal israélien après les résultats du premier tour de l’élection présidentielle en 2002, “le succès de Le Pen est un avertissement aux musulmans de France, leur indiquant de se tenir tranquilles“, le Front National version Marine Le Pen multiplia les gestes d’amitié avec les instances juives françaises au nom de la lutte contre l’islamisation de la France(2).

Au mépris de l’unité politique, durant l’affaire Gollnisch en octobre 2004, Marine Le Pen condamna les propos du Délégué Général du Front National et évoqua ” le martyre du peuple juif par les nazis “. De plus, six proches de Marine Le Pen ne votèrent pas un communiqué de soutien à Bruno Gollnisch.
En décembre 2005, d’après Libération, Marine Le Pen adhéra au groupe d’études France-Israël au sein du Parlement européen et souhaite, actuellement, participer à ce titre au prochain voyage en Israël organisé par l’assemblée de Strasbourg.

Ce revirement stratégique, loin des phrases assassines de Jean-Marie Le Pen comme “M. Durafour-crématoire” ou sur “ l’internationale juive (3)”, à de quoi laisser pantois les frontistes de la première heure. Car depuis sa création, le Front National a été la cible d’attaques violentes de la part de groupes de la communauté juive (4).

2 novembre 1976 : attentat contre le domicile de Jean-Marie Le Pen. Six blessés, dont un enfant, l’attentat est revendiqué par le Groupe du souvenir Juif.

18 mars 1978 : François Duprat, vice-président du Front National, est tué dans l’explosion de sa voiture. L’attentat est revendiqué par le Commando des fils et filles du souvenir. L’enquête n’aboutira jamais.
30 décembre 1987 : Saccage des locaux de National-Hebdo, par un commando d’une quinzaine de personnes en cagoules. L’action est revendiquée par l’Organisation juive de Combat.

1er Mai 1988 : Quatre attentats contre quatre locaux du F.N sont revendiqués par l’Organisation Juive de Combat.
8 mai 1988 : Attaque du cortège traditionnel à Jeanne d’Arc par l’organisation Juive de Combat. Huit blessés graves, dont un dans le coma.
7 septembre 1988 : Les locaux parisiens du Front National, sont cambriolés et saccagés par un groupe d’inconnus. L’action est revendiquée par l’Organisation Juive de Combat.
16 octobre 1989 : Attentat à la bombe contre le magazine Choc du Mois (proche du Front National). L’attentat est revendiqué par l’Organisation Juive de Combat. L’enquête n’aboutira jamais.
14 mai 1990 : Manifestation contre la profanation du cimetière juif de Carpentras. Le Bétar (mouvement juif sioniste violent) y participe en brandissant un drapeau israélien et un mannequin représentant Jean-Marie Le Pen empalé et vêtu d’un T-shirt portant l’inscription : “Carpentras, c’est moi”.
1er mai 1998 : Des militants du Bétar s’en prennent à un autocar et chargent des manifestants du FN à l’issue du cortège de Jeanne d’Arc.
Cette volonté de normalisation des relations entre la communauté juive et le Front National version Marine Le Pen est la preuve que le front antifasciste se lézarde. Mais il est aussi la preuve que le Front National, loin de se radicaliser, glisse doucement vers une idéologie néoconservatrice où la défense de l’Occident (Usa, Israël) serait la pierre angulaire de toute politique internationale. Choix tactique ou dérive conservatrice, la deuxième hypothèse semble la plus plausible, la réaction du Front National face à la mort d’Ilan ne peut que contraster avec l’indifférence du parti lepéniste pour la mort du gendarme Raphaël Clin, victime du racisme anti-blanc. A trop chercher la respectabilité, le Front National risque de perdre son soutien des couches les plus populaires (base de son électorat) victimes du racisme anti-blanc au quotidien (5).
1- Le Monde 28/02/06
2- “(…)de plus en plus de religieux musulmans soutenus et légitimés par le Pouvoir, grâce au Conseil du culte musulman, se sont constitués en pouvoir politique…l’Etat s’est mis à négocier sur tous les sujets, refusant manifestement de s’appuyer sur la laïcité, principe fondamental de la République : jeunes filles instrumentalisées pour porter le voile, aménagement des repas dans les cantines scolaires, aménagement d’horaires pour les musulmanes dans les piscines municipales, réclamation sur le contenu des manuels scolaires, adaptation des activités sportives à l’école, exigences sur la tenue de natation pour les garçons, aménagement des horaires dans les entreprises pour permettre les prières, développement de la polygamie, explosion des mariages forcés” Conférence de presse de Marine LE PEN sur la laïcité et le financement public de l’Islam
3- “Les grandes internationales, comme l’internationale juive, jouent un rôle non négligeable dans la création d’un esprit antinational” 11/08/1989 Présent
4- “Les Guerriers d’Israël, enquête sur les milices sionistes”, Emmanuel Ratier, Facta, 1995.
5- “Le Pen trouve, aujourd’hui, ses soutiens privilégiés dans les catégories où ces frustrations sont les plus fortes, à la fois chez des petits patrons inquiets pour leur avenir, la fraction la plus populaire de l’électorat de droite, et chez les salariés les plus défavorisés, traditionnellement acquis à la gauche… En 1995, le FN devenait le premier parti ouvrier de France. À l’élection de 2002, Le Pen égalise son score dans ces deux catégories (22 %). ” LES HAUTS ET LES BAS DU VOTE LE PEN 2002, Nonna Mayer

Un massacre de 2 jours en Palestine équivaut à 20 11 Septembre !

Contrairement à Marine Le Pen, nous n'appartenons pas au "groupe de réflexion" « France-Israël » (ce qui ne l'empêche d'ailleurs pas d'être refusée dans ce pays parce qu'elle est "fille de"). Par conséquent, on ne va pas se gêner. Un peu de comptabilité ne fait jamais de mal : "300 morts à Gaza pour une population de 1,5 million d'habitants cela équivaudrait à 12 000 morts en France et 60 000 aux États-Unis... LES PALESTINIENS VIENNENT DONC DE VIVRE UNE VINGTAINE De 11 SEPTEMBRE EN DEUX JOURS !!!"

VOICI CE QUE SEUL LE CAMP NATIONAL PEUT DENONCER :

Si nous disparaissons, personne ne pourra plus s'opposer à ça :







Appel à la reconnaissance de la
Pédophilie d’État


Il y a à peine vingt ans, il était difficile de concevoir l’existence de la pédophilie. L’association Le Bouclier dirigé par Bernard Valadon, aujourd’hui disparu, avait alors réalisé un formidable travail d’information. Il était impensable, à l’époque, d’imaginer qu’il puisse y avoir pire ! Aujourd’hui, les affaires se multiplient montrant l’existence de ce qu’il serait judicieux d’appeler une Pédophilie d’État, à savoir qu’ « un certain nombre de “notables”, politiques, magistrats et hauts fonctionnaires, disposant de pouvoirs institutionnels conséquents, sont “tenus” par des systèmes mafieux aux travers de “loges sataniques” criminelles qui utilisent le sexe et ses dérives les plus perverses, la torture et les meurtres collectifs, tout scandale étant écarté par un système judiciaire aux ordres où les accointances “maçonniques” jouent un rôle majeur. » (Voir Les dessous de l’affaire Allègre)

Ainsi, et pour prendre quelques exemples, Le Canard Enchaîné du 23 juillet 1997 avait dénoncé : « Lors de l’opération lancée par la gendarmerie contre les acheteurs de cassettes pédophiles, on avait aussi remarqué l’absence de certaines catégories professionnelles, dont celle des magistrats. Soixante et onze d’entre eux figurent pourtant sur la liste de ces clients ! » Il a donc suffit d'une seule opération de gendarmerie dans les milieux pédophiles pour y trouver impliqués pas moins de 71 magistrats français (soit 1 % de notre magistrature) ! Dans ces conditions, comment s'étonner que tant d'affaires de pédophilies soient étouffées…

On se rappelle tous de « la petite » affaire Dutroux, pédophile notoire et criminel. Mais où est passé « la grande » affaire Dutroux ? Cette intrigue apportait les preuves que Dutroux était membre d’un important réseau impliquant de nombreux notables belges jusqu’aux plus hautes sphères de l’État. Les témoignages de Mademoiselle Régina Louf sont, sur ce sujet, plus qu’accablants !

Monsieur Stan Maillaud, après avoir diffusé le témoignage d’un enfant victime (voir sur internet « l’affaire Vincent ») se voit menacé de mort et obligé de fuir les instances politico-judiciaires de notre pays. Son site internet lepeededamocles.info et les informations qu’il contenait ont été purement et simplement supprimés.

Monsieur Marcel Vervloesem est en train de mourir en prison. Son crime ? Avoir donné à la justice un CD Rom regroupant 8500 documents de 472 enfants violés. Les autorités belges pourraient ainsi détruire les pièces à conviction concernant les auteurs de crimes sur 90.081 enfants victimes (en vertu de la loi limitant la conservation des données à caractères personnels à la durée d’une enquête).

Il est évident, au vu des nombreux témoignages, que ces groupes rassemblent ce que le domaine psychiatrique nomme des pervers narcissiques. À savoir : « Des individus présentant une personnalité marquée à la fois par un narcissisme exacerbé et des traits de perversion morale. Ils ont un total mépris pour toutes lois ou contraintes. Leur éthique est, le plus souvent, celle de la loi du plus fort et/ou du plus rusé. Il y a, dans leur comportement, la banalisation du mal et une « relativisation » de la morale, dans le cadre d’un nihilisme opérationnel, qui peut même être militant. »

Merci de faire preuve d’un civisme actif en diffusant cet appel.

dimanche 28 décembre 2008

Dieudonné au Zénith... et Le Pen ?!

Dans un droit de réponse au journal Le Parisien, monsieur Jacques Vassieux affirme : Monsieur, Vous indiquez dans votre édition de ce jour que je vous avais confirmé la présence de Jean-Marie Le Pen et de son épouse et de nombreux autres adhérents du Front National au spectacle de Dieudonné au Zénith à Paris . Je ne vous ai jamais dit cela !"
Nous ignorons s'il s'agit d'une gaffe (jugée gênante) de monsieur Vassieux. Néanmoins nous profitons de cet article pour dire que, si Le Pen avait été là, il aurait eu toute sa place puisque même Julien Lepers (Question pour un champion) y était !

Communiqué de Kavan Herbin : "Merci Dieudo, les peuples sont plus libres qu'ils ne le croient..."

Salutation nationale à un héros de la liberté de pensée. Monsieur Dieudonné M’Bala M’Bala, qui n’est pourtant pas nationaliste, vient d’inviter Robert Faurisson au Zénith. Jamais, depuis bien longtemps, une telle liberté d’expression n'a pu se faire entendre. Jamais, au cours de ces 50 dernières années, un aussi beau pavé n’a été jeté dans la face de la dictature mondialiste. Les fonctionnaires de la politique, qui sévices partout, y compris dans nos rangs, ne pourront faire taire une pareille action. Sachez que, partout dans la société, de nombreuses personnes sont payées pour défendre des points de vue, pour orienter les masses. Dieudonné lui, s’est montré libre de toute attache !

Et justement, la force du nationaliste tient dans sa capacité à dire la Vérité. Les Drumont, Barrès ou Bardèche n’avaient de vigueur que parce qu’ils la prononçaient bien haute. Il faut savoir être libre, comme le dit si brillamment monsieur Robert Faurisson : « J’ai été professeur à la Sorbonne et à l’université de Lyon. Ma spécialité a été la critique de textes et de documents : littérature, histoire, médias. C'est-à-dire, comment lire un document, comment regarder une image... Parce que ces choses là, on croit savoir les pratiquer mais ce n’est pas vrai. Il faut apprendre à le faire. » Oui, il nous faut réapprendre à être libres ! L’enracinement est le cadeau des peuples émancipés.

Dieudonné, qui fut longtemps ennemi des défenseurs de l’identité, a aujourd’hui fait preuve de sa totale liberté d’expression. Il est devenu l’ami de tous ! Nos idées nationales sont un chemin, il est important que les masses qui viennent à nous n'y soient pas détournées. Elles ne doivent pas être déviées de leur trajectoire par les mensonges marxistes et libéraux. Ces derniers ne sont que des avatars du sionisme. Les peuples doivent pouvoir s’autodéterminer et être libres les uns des autres ! Chaque identité à sa terre ! La France aux Français, l’Europe aux Européens, la Palestine aux palestiniens… Tout ça va de pair ! Ce serait mentir au peuple que d’affirmer le contraire. Encore une fois, Dieudonné même si tu n’as pas nos idées : « Bienvenue dans la communauté des hommes libres ! »
Kavan Herbin
Président de la Gauche nationale

samedi 27 décembre 2008

Faurisson au Zénith : Dieudo on t'aime !

Programmes édifiants à télécharger...

Chers camarades, J'ai le plaisir de vous annoncer la dernière sortie de la rubrique FLORILEGE de MON SALON COURTOIS (une groupe Yahoo tenu par un ami de la "famille"), avec le lien de téléchargement du texte de la conférence de Le Gallou !

Libre journal de Martial BILD du mercredi 10 décembre 2008 Avec la participation de Guillaume Dameron, Pierre de Laubier et Marie-Claire de La Sayette. Invités : Jean-Yves Le Gallou, ancien député français au parlement européen, président de la fondation Polémia ; Reynald Secher, historien, éditeur, président de l'association Mémoire du Futur de l'Europe ; André Legault, secrétaire général de l'union régionale d'Ile-de-France de la CFE-CGC ; François de Chassey, président de l'Association Saint Jacques pour le Vietnam. Le populisme : une solution pour l'Europe en crise ; la Guerre de la Vendée et le système de dépopulation ; autres sujets : coups de coeur et coups de gueule. [1 fichier MP3, 32 kbps, 3 heures]

http://rapidshare.com/files/177227214/081210.3._LJ_M._BILD.mp3

Le premier libre journal de Martial BILD après sa libération !!! Un ex-cadre du FN recevant pour la première fois une personnalité du MNR (même si Le Gallou n'est certes pas que cela...), c'est forcément un grand moment.

Télécharger la communication de Jean-Yves Le Gallou (pdf)

Olivier Verneau

vendredi 26 décembre 2008

Wagner contre Nietzsche : Ce que Nietzsche n'a pas compris...

On ne niera point que Richard Wagner soit avant tout un artiste ; mais, parmi les critiques, les uns ont vu en lui de préférence un poète dramatique, les autres un musicien ; on l’a rattaché tantôt à Schiller et aux classiques, tantôt à Beethoven et aux romantiques. Le fait est qu’on constate chez lui des tendances diverses et on a pu parler sans exagération des « dissonances » de l’âme Wagnérienne. Aussi la plupart des critiques se sont-ils efforcés de trouver un terrain d’entente et on paraît s’être mis d’accord pour déclarer que le drame, d’une part, et la musique, de l’autre, sont les deux points de vue auxquels on peut indifféremment se placer pour saisir le sens profond de l’art Wagnérien. Comme s’il était permis de mettre sur le même plan le drame scénique et la musique ! La musique se suffit à elle-même : qu’a-t-elle besoin du poème dramatique ! Et le drame à son tour peut être complet sans la musique. Puisque l’on constate chez Wagner une alliance de la musique et du drame, le problème est précisément de découvrir la raison d’une pareille alliance. Aussi bien toute l’esthétique de Wagner, depuis Opéra et drame jusqu’à Beethoven, a-t-elle pour objet de régler cette question des rapports de la musique et du drame dans l’oeuvre d’art supérieure, et, si l’on a pu croire à une contradiction entre les thèses soutenues dans ces deux ouvrages, c’est qu’on a négligé d’approfondir le point capital, à savoir de définir exactement le rôle que joue dans l’art de Wagner l’action dramatique.

Wagner a voulu réformer l’Opéra, tel que l’ont conçu un Meyerbeer et un Auber, mais sa réforme ne pouvait porter sur la musique seule puisque celle-ci a toujours en soi une valeur absolue ; elle devait donc s’exercer principalement sur le choix de l’action dramatique. On peut distinguer trois phases dans l’évolution qui a conduit Wagner de l’opéra au drame musical : après avoir, suivant l’exemple de ses devanciers, choisi son action dramatique dans l’histoire (Rienzi), il la chercha dans la légende pure (Le Vaisseau Fantôme), puis dans la légende adaptée aux nécessités du drame (Tannhaüser et Lohengrin). C’est à ce moment que, réfléchissant sur les conditions de sa propre activité artistique, il se rend compte avec une pleine intelligence du but auquel il tendait inconsciemment et il élabore sa théorie de l’action dramatique, dont il appliquera dorénavant les principes dans toutes ses oeuvres, depuis la Tétralogie jusqu’à Parsifal.

Il établit que la musique dans le drame ne doit pas simplement accompagner l’action qui se joue sur la scène, mais qu’elle ne doit pas non plus rester une rêverie stérile de l’imagination. En effet, la musique, étant essentiellement l’expression des mouvements de l’âme, tend à se réaliser en actes par la production de formes sensibles à l’oeil, qui constitueront la trame nécessaire de l’action scénique. Dès lors, le drame doit être conçu comme le résultat de l’expression visible d’intentions musicales et par conséquent ne comporter que des motifs purement humains. L’action dramatique devra donc être presque entièrement intérieure et, par suite, dégagée de toute contingence historique ou sociale. La légende seule, par ce qu’elle contient de purement humain, nous donne des modèles de ce genre ; mais à la condition de subir les adaptations exigées par les nécessités de la musique.

C’est ce caractère purement humain ou intérieur de l’action dramatique qui détermine à son tour le symbolisme du drame wagnérien et lui confère sa portée philosophique. Ici encore, les avis des critiques sont très partagés : les uns découvrent, dans la pensée wagnérienne une évolution qu’ils décomposent en trois phases, qui n’auraient entre elles rien de commun ; les autres nient cette évolution et affirment l’unité absolue de ce qu’ils appellent la philosophie du drame musical.
Que la conception du monde, telle qu’elle se dégage des oeuvres dramatiques de Wagner n’ait jamais varié, il serait puéril de le soutenir ; mais que les moments qui marquent le progrès de cette conception n’aient aucun lien, il n’est pas moins absurde de le prétendre. S’il est vrai que, d’une façon générale l’évolution des systèmes métaphysiques se ramène à trois étapes : affirmation du monde (thèse), négation du monde (antithèse), le monde surmonté (synthèse), on doit admettre que la pensée de Wagner a suivi cette évolution. Après s’être placé, sous l’influence de Feuerbach, au point de vue d’un optimisme païen qui le conduisit à une affirmation totale du monde (Weltbejähung), Wagner subit profondément l’action de Schopenhauer et, professant la doctrine du Monde comme Volonté et Représentation, enseigne une négation du monde qui revêt parfois les caractères du pessimisme bouddhiste (Weltverneinung) ; puis, sans doute, à l’instigation de Liszt et particulièrement de Cosima, il s’élève à une affirmation nouvelle du monde qui, par son inspiration chrétienne, représente une victoire sur le monde (Weltüberwindung).

Est-ce à dire qu’aucun lien ne rattache l’un à l’autre ces trois moments de la pensée wagnérienne ? S’il y a une idée présente en toutes les oeuvres du musicien-poète, c’est bien celle de la rédemption ; et si les conditions humaines ou divines de cette rédemption, comme le terme qui lui est assigné, création d’une humanité libre et supérieure ou reconnaissance d’un monde transcendant, donnent à l’idée selon les oeuvres une coloration différente, on doit convenir que chez Wagner, depuis le Vaisseau fantôme jusqu’à Parsifal, il ne s’agit jamais que de rédemption, soit que le rachat du pécheur soit opéré par une femme (Senta, Elisabeth) ou, inversement, le rachat de la pécheresse par un homme (Siegfried, Parsifal). Notons en outre, le remarquable progrès que suit dans le drame Wagnérien l’idée de la rédemption : de l’amour qui est une passion (Leiden), le rédempteur s’élève à la compassion, qui est un acte de la volonté (Mitleiden), après avoir subi l’épreuve de l’intuition (Schauen), qui est précisément l’intermédiaire psychologique entre la passion et l’activité pure. Et nous avons ainsi la clef du symbolisme qui se développe de la Tétralogie et de Tristan, où s’affirme au-delà même de la mort l’amour-passion, aux Maîtres Chanteurs, hommage au poète qui s’est élevé au-dessus des maîtres parce qu’il a compris la vanité de tout ce qui passe et s’est résigné, et des Maîtres Chanteurs à Parsifal, à qui se révèle par la pitié l’énigme du monde, et couronnement de l’oeuvre totale.

Qu’il nous soit maintenant permis d’illustrer, par une rapide analyse des oeuvres, la thèse que nous venons de présenter.

Si, le théâtre de Wagner peut être défini, d’une façon générale, le théâtre de la rédemption, il parut tout d’abord à l’auteur du Vaisseau fantôme que l’oeuvre du salut ne pouvait être opérée que par l’amour. Condamné pour un blasphème à errer sur les mers sans relâche et sans repos, le Hollandais obtiendra la délivrance s’il rencontre une femme qui lui garde une éternelle fidélité. Mais n’est-ce pas une pitié profonde plutôt qu’un amour véritable qui inspire à Senta son acte de sublime renoncement ? Et cet acte même, elle semble bien ne l’accomplir que sous l’emprise d’une hallucination, dont elle est la victime résignée. Elle s’abandonne à la contrainte d’une « puissance magique » dont elle n’essaie pas de pénétrer le secret ; à Erik qui l’interroge elle ne sait que répondre : «Tais-toi ! Il le faut ! Il le faut ! ». Elle se voue à la mort, non par un libre consentement au sacrifice, mais par une obéissance aveugle à la fatalité qui la domine.

Comme le Hollandais, Tannhaüser aspire à l’oubli, à la paix, au repos ; son désir le porte à la mort et, si la mort lui refuse une tombe, il attend du repentir sa délivrance. Mais il a commis le péché qu’aucune pénitence, aucune expiation ne saurait effacer : il a goûté au Vénusberg les plaisirs de l’Enfer. Jamais le repos ne lui serait accordé si un « ange de salut » ne donnait sa vie sans tache pour racheter la faute du pécheur ; Elisabeth aime Tannhaüser de toute son âme de vierge chaste et pieuse. Rien n’est plus charmant de retenue, de naïveté et de tendresse que l’aveu qui s’échappe de ses lèvres, lorsqu’elle revoit après une longue absence son chanteur préféré ; elle rend grâces au miracle qui l’a ramené près d’elle ; maintenant « le soleil rit à ses yeux »; « éveillée à une vie nouvelle », elle ose dire au bonheur : « tu es à moi ». Aussi a-t-elle le coeur brisé, lorsque Tannhaüser se glorifie d’avoir connu l’amour dans la coupable étreinte de Vénus. Elle a reçu de lui le coup mortel ; que lui importe désormais la vie ? Il ne s’agît plus d’elle, mais de lui et de son salut éternel. Et, lorsque dans la procession des pèlerins qui reviennent de Rome elle n’aperçoit pas le visage de Tannhaüser, elle s’agenouille devant l’image de Marie, et, dans la tristesse du soir qui tombe, elle offre sa vie en holocauste pour la rédemption du pécheur.

Dans le Vaisseau fantôme et plus encore dans Tannhaüser, Wagner a montré que la grâce de l’homme qui a péché peut être obtenue par l’intercession d’une vierge qui puise dans l’exaltation de son amour, la force de se consacrer à la mort., L’oeuvre de rédemption est ainsi conditionnée par l’amour et c’est de l’amour même que jaillit la source purifiante du renoncement ; mais elle ne se réalise pleinement que dans l’au-delà, elle est fondée sur l’acceptation de la mort. C’est seulement lorsque Senta s’est jetée à la mer pour rester fidèle au Hollandais, qu’on les voit s’élever tous deux, transfigurés, au-dessus des flots ; c’est seulement lorsque l’âme d’Elisabeth a quitté la terre que Tannhaüser reçoit le salut de la grâce, et il meurt lui-même pour entrer dans la paix des bienheureux. Cette acceptation de la mort est-elle une nécessité primordiale ? N’est-il pas possible d’accomplir ici-bas l’oeuvre de rédemption ? Pourquoi l’idéal ne descendrait-il pas parmi nous, illuminant toutes choses d’un reflet de sa beauté et de sa perfection ? A ces questions Wagner tentera de donner une réponse dans Lohengrin et dans Tristan.

Sans doute, il suffit qu’Elsa, faussement accusée du meurtre de son frère, invoque par un pressant appel le secours du Chevalier qui lui apparut dans un rêve enchanté ; Lohengrin accourt de Montsalvat, revêtu d’une puissance surnaturelle. L’Idéal ne peut manquer de se révéler à ceux qui le pressentent et se donnent à lui de tout l’élan de leur amour et de leur foi. Mais cet amour et cette foi sont la condition même de son existence ; il ne saurait vivre que dans les âmes qui croient en lui simplement parce qu’il leur est présent, et qui renoncent à connaître jamais son origine et ses titres. Révéler sa nature divine ne serait-ce pas pour l’Absolu se soumettre aux lois du relatif, donc se nier lui-même ? Il a besoin, pour triompher, d’une confiance aveugle et sans limites. Mais l’amour qui renonce à connaître son objet est-il digne de s’unir à lui ? L’amour n’atteint son but que dans la possession et que possède-t-il d’un objet dont il ignore même le nom ? Ainsi se pose entre l’amour et l’Idéal une antinomie tragique : ils ne peuvent s’unir ici-bas. En vain s’efforcerait-on de rompre la douloureuse fatalité, la séparation est inévitable. Seule la consécration de la mort peut élever l’amour à la hauteur de son Idéal ; une expiation est nécessaire : « pour toi », dit Elsa à Lohengrin, je voudrais être en butte à la souffrance, je voudrais marcher à la mort. »

Dans Tristan et Isolde cette fatalité inéluctable se dévoile avec une puissance et une profondeur sans pareilles. La mort n’est plus seulement acceptée comme dans Tannhaüser, désirée comme dans Lohengrin ; elle est voulue pour elle-même, car c’est elle qui ouvre l’accès à cet « empire merveilleux de la nuit », où sourit aux amants « l’unique et éternelle vérité, la volonté d’aimer ». Le « jour » est illusion et mensonge et peut encore séparer, par le fallacieux mirage de ses artifices, ceux qui, parvenus au seuil de la mort, ont contemplé dans sa vérité la splendide nuit d’amour ; il ne saurait désormais les tromper par son mensonge. Ils se sont affranchis des vaines erreurs de ce monde que le jour éclaire de sa lueur décevante ; et un seul désir leur reste, « un désir délicieux de l’éternel sommeil, sans apparence et sans réveil », une « ardente aspiration vers la nuit sainte » où les amants demeurent inséparés, à jamais unis, « sans nom au sein de l’Amour, livrés tout entiers à eux-mêmes, ne vivant plus que pour l’Amour ». Comment la mort porterait-elle atteinte à l’Amour ? Si l’amour de Tristan est immortel, Tristan lui-même ne peut mourir de son amour. Ce qui succombe à la mort, c’est précisément l’obstacle qui sépare Tristan et Isolde, qui les empêche de s’aimer sans fin et de vivre l’un pour l’autre, qui empêche Tristan d’être Isolde, Isolde d’être Tristan. Au sein de la « nuit fortunée » il n’y a plus de Tristan ni d’Isolde, « plus de noms qui séparent » mais une même flamme d’amour, « une seule âme et une seule pensée pour l’éternité. « Ainsi s’évanouissent dans la « volupté de la mort » tous les mirages du monde et de la vie ; par « l’aspiration au néant total », s’accomplit « l’unique et définitive rédemption » : « dans les grandes ondes de l’océan de délices, dans la sonore harmonie des vagues de parfums, dans l’haleine infinie de l’Âme universelle, se perdre, s’abîmer, sans conscience, volupté suprême. » Isolde meurt, transfigurée, sur le cadavre de Tristan.

À cette solution dont le pessimisme douloureux évoque le souvenir d’un amour fatal et sans espoir, Wagner ne pouvait s’en tenir sans se perdre lui-même. S’il, voulut un jour « s’envelopper pour mourir, dans le noir pavillon » qui flotte à la fin du drame, il réussit toutefois à calmer « les tempêtes de son coeur » et à surmonter « la soif d’amour et de mort » qui le brûlait ; et, dans la sérénité de la paix reconquise, l’oeuvre de rédemption lui apparut sous un jour nouveau. Déjà, dans le plan primitif de Tristan, il s’était proposé de faire intervenir Parsifal au dénouement et d’opposer au héros de la passion le héros du renoncement. Plus significatif encore est le projet de drame esquissé en mai 1856, Les Vainqueurs, dont l’Inde du Bouddha eût été le théâtre et qui aurait montré dans le renoncement à l’amour même la voie du salut ou de la régénération.

C’est bien, en effet, de régénération qu’il s’agit maintenant, et non plus simplement de rédemption. « De Tristan et d’Isolde, dit Hans Sachs, le Maître Chanteur de Nuremberg, je sais un triste chant. Hans Sachs est sage et laisse à Marke son bonheur. A temps, j’ai pris le bon chemin ; sans quoi, l’histoire aurait eu même fin ». S’il s’est laissé un moment bercer d’un doux espoir, s’il a « l’esprit troublé », quand Eva lui confie malicieusement qu’elle avait pensé être son enfant et aussi sa femme, il reconnaît bien vite, par des questions habilement posées à la jeune fille, qu’il est trop vieux pour prétendre à une pareille joie et que ce n’est pas lui qui est aimé, et il n’a plus désormais qu’un désir : faire le bonheur d’Eva en favorisant son mariage avec le Chevalier Walther. Sans doute, il a le coeur douloureusement ému : « Oh ! Ève ! femme sans pitié, contemple la victime ». Il lui faut savoir coudre ce que d’autres « déchirent », et lorsque l’événement va s’accomplir, il reste songeur : « le regard perdu au loin, comme si son esprit était ailleurs », il n’entend pas les acclamations de la foule qui le salue. Mais il est poète et, par l’art, il s’élève peu à peu à une « résignation sereine et triomphante ». S’il recommande à Walther de méditer les règles des Maîtres, c’est que les Maîtres étaient des « coeurs affligés sur qui longtemps pesa la vie » et qui, dans leur détresse amère se créèrent une forme d’art, capable de redire les « amours heureuses ». Le monde est une erreur décevante, « un délire » ; mais sans ce « délire » rien n’est possible, rien ne change ou ne demeure et il appartient au sage de le diriger au « juste et noble but ». Rêve ! Rêve ! tout n’est que rêve ! Mais l’homme est près du vrai quand il comprend ce qu’il a rêvé, ; l’oeuvre d’art n’est qu’un « songe interprété » ; le Rêve est poésie et le poète ne saurait triompher sans son rêve. Hans Sachs a conquis « le Saint Royaume d’Art » et de son « doux martyre » il est sorti plus fort, régénéré.

Celui qui veut à l’exemple de Hans Sachs, pénétrer dans le merveilleux empire de la régénération et de la paix, ne doit pas essayer d’en « forcer les portes ». Pour gagner le monde, il faut consentir à le perdre. Le désir est illusion et mensonge, le salut est dans le renoncement à tout désir. Telle est la grande leçon qui se dégage de l’Anneau du Nibelung. Wotan succombe dans le crépuscule de feu qui embrase le Walhall, parce que, jouet du désir et de l’illusion, il a voulu ravir la puissance sans renier l’amour : « du jeune amour, la joie m’ayant fui, mon coeur souhaita le pouvoir ; mais l’amour demeurait mon envie ; mon pouvoir rêvait la tendresse ». Quiconque choisit l’amour doit renoncer à la puissance : il ne peut pas régner ; mais quiconque choisit la puissance doit renoncer à l’amour : il ne peut pas vivre. Vainement Wotan s’efforce d’échapper au dilemme ; l’antique Fatalité qui domine le monde le rappelle à l’obéissance et dans la claire conscience de son infirmité radicale, Wotan n’aspire plus qu’à la chute : « cette fin divine ne m’effraie point, mon désir y tend ». « Las de toute espérance, il endort sur le roc de flammes son « vouloir vivant », Brunnhilde. L’oeuvre de salut n’est plus possible, à moins qu’un « libre héros », plus fort que Wotan lui-même, ne franchisse le cercle de feu et réveille la vierge prédestinée à qui seule Dieu a légué son savoir et qui, « sachante », peut accomplir l’exploit rédempteur du monde.

Siegfried a conquis l’Anneau d’Or et, bien qu’il en connaisse le prix, il n’en a souci; il ne désire pas la jouissance et il ignore l’amour; n’est-il pas le Sauveur attendu ? Il lui reste à triompher d’une dernière épreuve. Wotan se dresse devant lui pour arrêter sa marche victorieuse, mais d’un coup d’épée Siegfried brise la lance du « voyageur » et traversant le brasier, il découvre, endormie « dans la paix solitaire des monts bienheureux », la sublime fiancée. Sous le baiser de Siegfried, Brunnhilde s’est éveillée, mais l’acte même qui lui a donné l’éveil a compromis à jamais l’oeuvre de rédemption : le désir d’amour s’est emparé du coeur de Siegfried. En vain Brunnhilde supplie le jeune héros de la « laisser pure », de garder son corps de l’approche farouche, de lui épargner les étreintes qui brisent et domptent: « aime-toi et laisse moi ; ne tue point ton propre amour ». Ses sens la trahissent elle-même, ses yeux se troublent son savoir lui échappe, « l’ombre funèbre voile sa pensée », et tous deux, victimes du désir, courent en riant « se perdre au gouffre ouvert » : « nuit du néant, submerge tout ». C’en est fait de l’oeuvre rédemptrice « flamme d’amour, joie de la mort. »

Dès lors les événements se précipitent. Brunnhilde, trahie par Siegfried, le livre aux coups de Hagen. Mais à la vue du héros qui repose dans la sérénité de la mort, son âme s’illumine « d’une douce et grandissante extase », il a fallu qu’un être pur la trahît pour qu’elle comprît ; maintenant elle sait « toute, toute, toute chose », et dans l’embrasement du Walhall qui flamboie, elle chante, comme Isolde, l’adieu du suprême renoncement : « Si je ne conduis plus les héros vers la forteresse du Walhall, savez-vous où je vais ? je quitte ce monde du désir, je fuis à jamais ce monde de l’illusion ; de l’éternel devenir, je ferme derrière moi les portes.. Vers le monde bienheureux où cessent le désir et l’illusion, vers le but où s’achemine l’universelle évolution, s’élance la Voyante, affranchie de la nécessité de renaître. Savez-vous comment j’ai pu obtenir la fin bénie de tout ce qui est éternel ? Les souffrances profondes d’un amour en deuil m’ont ouvert les yeux: j’ai vu la fin de l’univers. »
Ce n’est point du héros qui n’a pas appris la peur, mais du Simple au coeur chaste, que le monde du devenir attend sa délivrance. Parsifal est le sauveur qui n’aura pas besoin de mourir pour racheter le monde, mais qui régnera sur le monde régénéré. Hans Sachs a triomphé de l’illusion et du désir par la beauté de son rêve poétique ; transfigurée par la souffrance qui l’atteint dans son unique amour, Brunnhilde a pénétré le secret du ciel ; Parsifal fera sienne, par la pitié, la douleur universelle et, instruit par son coeur, il accomplira l’acte définitif de la rédemption. A la vue d’Amfortas qui gémit, étendu sur sa litière, frappé d’une blessure inguérissable et invoquant la mort libératrice. Parsifal se sent ému d’une compassion profonde. Chaque plainte du Roi déchu trouve en sa poitrine un écho douloureux. Mais le mal d’Amfortas lui demeure inconnu ; dans la pureté de son âme vierge, il ignore la tentation du désir, il ne comprend pas le spectacle dont ses yeux sont témoins ; son coeur s’est ouvert à la pitié, mais son esprit est resté simple. S’il est le Sauveur attendu, il lui faut donc subir victorieusement l’épreuve de la tentation. Kundry sera l’instrument de l’oeuvre providentielle.
Comme Amfortas, elle souffre du désir impur qui, sans cesse, renaît dans son âme, et elle aspire à la paix, au sommeil, à la mort : « Sommeil ! lourd sommeil ! Mort ! paix de la tombe, quand t’obtiendrais-je ? » Mais, trompée par la décevante illusion du désir, elle s’imagine que l’amour lui apportera le salut. Non, celui-là seul accomplira l’oeuvre de la rédemption qui résistera à l’amour. Au baiser de Kundry, Parsifal s’est éveillé, comme Brunnhilde, à une vie nouvelle ; mais, tandis que Brunnhilde a dû s’élever par sa propre douleur à la contemplation de l’éternelle vérité, Parsifal, instruit par la pitié, a compris, d’une intuition immédiate, l’énigme du devenir. Vainement Kundry use de toute la puissance de ses enchantements pour le retenir dans ses bras. Affranchi du désir, il a reconquis l’épieu sacré, et aucun obstacle ne saurait désormais entraver son ascension glorieuse vers le Graal où, dans l’enchantement du Vendredi Saint, il rendra la paix à Kundry, régénérée par le baptême, et fermera la blessure d’Amfortas du geste même qui l’avait ouverte.

Nietzsche (1) s’est demandé si Wagner avait pris vraiment au sérieux son Parsifal ; il aurait souhaité quant à lui, « que Wagner eût pris congé de nous autrement ; qu’il eût pris congé de son art, non avec un Parsifal, mais d’une manière plus victorieuse, plus assurée, plus wagnérienne ». (Werke, t. VII, 402 et suiv.). Il nous semble, au contraire, si nous avons bien compris le sens de l’oeuvre dramatique wagnérienne, qu’après avoir atteint dans Tristan, le point culminant de son pessimisme, tout imprégné de philosophie schopenhauerienne, il ne restait à Wagner, pour sortir de la nuit funèbre qui menaçait de l’envelopper tout entier, qu’une création comme celle de Siegfried ou bien Parsifal. Mais Siegfried, « cet homme très libre, beaucoup trop libre peut-être, et trop rude et trop joyeux, et trop bien portant et trop anticatholique au goût des peuples très vieux et très civilisés » (2), n’avait pas apporté le salut lui aussi s’était écroulé dans la mort et, quand Brunnhilde avait enfin compris, il était trop tard, le monde continuait à rouler vers l’abîme. « Grand est le charme du désir, plus grande est la force de renoncement » : en cette formule qui, dans le plan primitif de Parsifal, devait terminer l’oeuvre, se révèle la seule issue qui fût ouverte au poète dramatique pour conclure autrement que par une négation stérile son thème de la rédemption. La maîtrise du monde n’est donnée qu’à celui qui, ayant découvert son mensonge, ne lui accorde son approbation qu’après l’avoir surmonté et régénéré.
Gabriel HUAN

(1) NIETZSCHE, Werke, tome V, p. 132.
(2) NIETZSCHE, Werke, tome V, p. 132.

Deux anecdotes de noël :

Ce blog fut présenté à l’amie d’un camarade de notre mouvance. Celle-ci regarde rapidement puisqu’elle « n’aime pas nos idées ». Sa conclusion fut : « En tout cas, j’espère que Marine va gagner ! » Interloqué, on lui demande alors : « Tu voterais FN si Marine gagnait ? » sa réponse fut sans équivoque : « Justement, jamais de la vie ! »

Un papa et sa fille sortent d’une voiture. Le père coupe sa musique antifasciste diffusée à fond. Il amène la petite vers sa mère (habillée bourgeoise style belle époque avec le chapeau assortie). Elle parle alors avec un ami déguisé en Golden Boy. Elle lui déclare : « Ah ! Son papa est politiquement sans engagement… mais il veut une société sans raciste ! » Approbation du Golden Boy.

Conclusion : la pensée unique commence là où s’arrête la réflexion !

Joyeux Noël !

jeudi 25 décembre 2008

Pour noël, merci de penser à ceux qui n'ont rien... Nos idées sont leur espoir !



Harnoncourt sait vraiment bien choisir : instruments anciens, choeur d'enfants et garçons, comme à l'époque de Jean-Sébastien Bach. Une vidéo tout simplement majestueuse !

lundi 22 décembre 2008

"Le dernier carré - LE FRONT NATIONAL SUSPENDU … A BRUNO GOLLNISCH !

La crise qui secoue aujourd’hui le Front national est largement sous-estimée. Bien plus destructrice que celle qui a amené à la scission de 99. En effet si 1999 fût une explosion d’ambition, 2008 est une implosion idéologique. Carl Lang et ses amis sont à ranger plus dans la catégorie mutin que putschiste. Si la contagion devait s’étendre, il est plus que probable que le FN de Jean-Marie Le Pen s’effondre sur lui-même faute de troupes et de moyens. Comble de l’ironie, le seul rempart à cela pour l’instant, s’appelle : Bruno Gollnisch. "


Source : http://www.national-hebdo.net/ (Le Nouveau NH)


http://www.national-hebdo.net/crbst_14.html (sommaire)


Pour lire la suite cliquez ici : http://www.national-hebdo.net/crbst_0.html

Lisez bien tant c'est vrai, réaliste et édifiant !

En dehors de quelques points de détails, nous partageons totalement cette analyse, excepté sur le fait que nous pensons que l'Homme de la situation est plus Carl Lang que Bruno Gollnisch. Bruno Gollnisch est admirable et a toute la confiance des nationaux, nationalistes et patriotes, ce depuis des années, mais celui qui, le premier, a eu le courage de réagir, de résister et de lancer une initiative forte pour notre idéal, c'est Carl Lang. Il a su démontré (s'il en était besoin), là et par ce geste hautement symbolique, qu'il est à la fois l'élément déclencheur et fédérateur du renouveau du Mouvement National ! Bruno Gollnisch n'a plus d'avenir dans un Front National où il subit humiliation sur humiliation de la part de "qui vous savez". Il se doit de rejoindre Carl Lang dans son action décisive ! Quel tandem extraordinaire ils formeraient à eux deux, sans parler de toutes et tous les autres. Quelle dynamique cela entraînerait !

Vite, Vite Bruno ! Il est plus que temps !

Courage et en avant !

TOUS AVEC CARL LANG !

NB: Merci de faire circuler cette information partout et par tous les moyens. Les prochains jours vont être décisifs pour l'avenir du Mouvement National. Si vous désirez vraiment le renouveau, il faut relayer ces informations partout et par tous les moyens auprès de vos familles, proches, ami(e)s et relations, auprès de toutes et tous les militants et sympathisants.

A lire aussi cet amusant article :

http://www.national-hebdo.net/crbst_10.html (alain soral fait le forcing en Ile de France)

Vous y apprendrez que notre "ami sociologue" a, entre autre, fait effacer toutes les vidéos de l'université 2008 de son fan-club (sur youtube, dailymotion, son site, le site de son cercle, notamment), vidéos auxquelles nous faisions allusion au sujet de sa façon de traiter ses "amis" au sein du FN ! Nous avions enregistré ces vidéos, mais il est évidemment hors de question de les mettre en ligne. Nous ne ferons plus jamais de publicité à quiconque stigmatise "l'extrêêêêême droite" comme un vulgaire militant de base de la LCR ! Si vous désirez les obtenir pour vous ou pour vos ami(e)s, écrivez-nous et nous vous renverrons un lien emule ou rapidshare.

Alain Soral nous trompe !

L’hebdomadaire MINUTE publie une interview d’Alain Soral, membre du Front National depuis trois ans, membre du Comité Central depuis son dernier congrès, coopté par le Président Jean-Marie Le Pen sans même avoir soumis sa candidature aux suffrages des militants qui étaient pourtant censés élire leurs dirigeants de façon beaucoup plus démocratique qu’auparavant.

Ce monsieur Soral, transfuge du communisme, y émet trois opinions qui inspirent malheureusement la nouvelle ligne politique et électorale de notre mouvement dont on sait où elle nous a conduits. C’est pourquoi je crois de mon devoir d’y apporter des commentaires, et malheureusement sur ce public et modeste blog puisque aucun lieu de débat n’est autorisé sur ces questions au sein de notre mouvement,

1 - Les fondamentaux du Front National

A.S. : « Prenez la dernière campagne présidentielle. J’ai entendu beaucoup de gens qui croient « être » le Front me dire qu’on aurait dû rassembler sur les « fondamentaux » au premier tour pour élargir au second. Rassembler sur les « fondamentaux », pour eux, c’est s’arc-bouter sur des thèmes d’extrême droite qui sont en phase avec moins de 2 % de l’électorat ! Ils pensent qu’en faisant moins de 2 % on pouvait être présent au second tour ? Comme je l’ai dit et répété, la vocation du FN est de faire l’union sacrée de la gauche du travail, trahie par la gauche bobo, et de la droite des valeurs, déçue par la droite bling-bling. Jean-Marie Le Pen le sait très bien. Le problème, c’est que certains cadres du FN refusent d’en prendre con science. »

M. Soral oublie un peu vite que les fondamentaux du Front National sont ceux de son programme publié en 2001 « pour un avenir Français » qui a servi de base à la campagne victorieuse de notre Président en 2002.

2 - La campagne présidentielle de 2007

Minute : Vous voulez dire que la stratégie suivie par Jean-Marie Le Pen à la présidentielle de 2007 était la bonne ? A.S. : « Bien sûr qu’elle était la bonne ! Malheureusement, Nicolas Sarkozy l’a entièrement copiée et l’a développée avec beaucoup plus de moyens, de sorte qu’il s’est fait élire sur les idées national-républicaines qui étaient les nôtres et qui sont d’ailleurs celles de Le Pen depuis toujours. Le Front national ce n’est pas l’extrême droite, sinon il ne serait jamais monté à 17 %. (Alain Soral avoue bien malgré lui la pertinence politique et la performance électorale des fondamentaux de 2001/2002 – NDLR) Il est plutôt victime d’une petite minorité qui vote Front par défaut tout en n’arrêtant pas de se plaindre que le FN n’est pas un vrai parti d’extrême droite ! »

Si l’on y regarde de plus près, on se rend compte que Nicolas Sarkozy n’a pas copié la campagne 2007 de Jean Marie Le Pen, mais bien celle de 2002. Ceci alors que notre Président copiait, lui la campagne de 2002 de Chirac ! Sarkozy n’est pas venu chasser sur les terres du Front National, il a occupé des bastions politiquement désertés et médiatiquement reniés par Jean-Marie Le Pen lors de sa dernière campagne présidentielle.

Quand Le Pen allait à Valmy clamer son amour de la république sur un des hauts lieux du recul de la cause nationale, Sarkozy allait à Rouen nous parler des valeurs de Sainte Jeanne d’Arc. Quand Le Pen allait sur la dalle d’Argenteuil pour dire à ses « amis et compatriotes » sans distinction parmi les populations des zones de non droit « vous êtes les branches de l'arbre France », « vous avez les mêmes droits et devoirs comme nous tous », Sarkozy y allait pour dire aux braves gens qu’il allait les débarrasser de la racaille qui les tourmente à l’aide d’un kärcher s’il le fallait. Quand Le Pen demandait à ses militants de coller une affiche de « beurette » dont la volonté d’assimilation ne sautait pas aux yeux, Sarkozy parlait de créer un ministère de l’immigration et de l’identité nationale…

La nature a horreur du vide. Les électeurs aussi. A la désertion des Idées qui ont fait le Front, a répondu la désertion des électeurs qui lui avaient donné une existence électorale.

3 - L’islam

A.S. : « Il y a bien des Français bouddhistes, pourquoi n’y aurait-il pas des Français musulmans, surtout dans le cadre d’un islam qui, s’étant déplacé, se « francise »? C’est une question de quantité. Ce qui fait peur dans l’islam, ce ne sont pas les valeurs de l’islam, c’est le nombre de musulmans ; c’est la déferlante d’immigrés d’origine saharienne ou subsaharienne, qui sont de confession musulmane par ailleurs. Penser que le problème de l’islam, ce sont les valeurs de l’islam, c’est prendre la question à l’envers. C’est une question de proportions: s’il y avait 2 % de musulmans en France, ou même 4 %, l’islam ne poserait aucun problème. Quand on passe la barre des 10 %, effectivement, ça commence à remettre en cause l’équilibre culturel. »
Minute : Pensez-vous qu’il y a aujourd’hui une spécificité conquérante de l’islam ?

A.S. : « Toutes les grandes religions monothéistes sont ou ont été prosélytes, mais je ne crois pas du tout que le problème des musulmans de France aujourd’hui soit de convertir à l’islam ce qui reste de christianisme chez les chrétiens. Il est plutôt d’essayer, dans un contexte d’islamophobie de plus en plus instrumentalisée, de s’intégrer à la petite bourgeoisie. Ce qui préoccupe les Français musulmans, c’est leur réussite de Français sur le plan social. Sur le terrain, je vois très peu de prosélytes islamiques, et ils sont souvent instrumentalisés par ceux-là même qui les montrent du doigt. »

Il est intéressant de voir que pour Monsieur Soral, la question de l’islam ne semble se poser qu’au sein de l’hexagone ! Pour ce qui est de la nature des valeurs de l’islam, je renvoie mon lecteur aux chapitres consacrés à ce thème sur ce blog. Quand à l’islam « francisé », comme dit Monsieur Soral, on peut en mesurer le degré et la volonté d’intégration aux valeurs de la civilisation française à travers quelques réponses données récemment par un échantillon représentatif des musulmans français à l’institut de sondage CSA :

Vous considérez-vous…?

Autant comme Français que comme musulman : 60%
D'abord comme musulman 22%
D'abord comme Français 14 %
Ne se prononcent pas 4 %

Laquelle de ces propositions est la plus proche de votre point de vue ?

La loi musulmane (la charia) doit être appliquée intégralement, quel que soit le pays dans lequel on vit : 17%
La loi musulmane (la charia) doit être appliquée en partie, on peut l'adapter aux règles du pays où on vit : 37%
La loi musulmane (la charia) n'a pas à s'appliquer dans les pays non musulmans 38%
Ne se prononcent pas : 8%

A propos du port du voile par les femmes musulmanes en France, quelle est votre attitude ?

Je suis tout à fait favorable au fait que les femmes musulmanes portent le voile en France : 43%
Je suis plutôt favorable au fait que les femmes musulmanes portent le voile en France : 27 %
Je suis plutôt défavorable au fait que les femmes musulmanes portent le voile en France : 8%
Je suis tout à fait défavorable au fait que les femmes musulmanes portent le voile en France : 9 %
C'est à chaque femme de décider (réponse non suggérée) : 12%
Ne se prononcent pas : 1%

Doit on permettre aux pratiquants de l'Islam de choisir d'autres jours fériés à connotation religieuse à la place de ceux qui sont actuellement en vigueur ?

Tout à fait favorable : 28 %
Plutôt favorable : 35 %
Plutôt opposé : 18 %
Tout à fait opposé : 13%
Ne se prononce pas : 4%

L’islam « francisé » de monsieur Soral se considère plus musulman que Français, est favorable à l’application au moins partielle de la charia dans les règles du pays ou il vit, est favorable au port du voile et pense que l’on doit permettre aux musulmans de disposer d’autres jours fériés à connotation religieuse que ceux qui sont en vigueur. Oui, monsieur Soral, l’islam (et non l’islamisme) à la démographie galopantes est une des menaces majeures pour la liberté de notre peuple en ce début de 21ème siècle.

Militant depuis 15 ans, 20 fois candidat pour les couleurs du Front National dans tous types d’élection excepté l’élection présidentielle, n’assurant les responsabilités et mandats électoraux qui sont les miens qu’à la seule demande de la hiérarchie du mouvement auprès duquel je me suis porté volontaire, je suis de ceux qui ne doivent rien au Front National et qui ont, par lui, beaucoup sacrifié à la cause de la France en soulevant un grand espoir au cœur de son peuple.
Il est très regrettable qu’aujourd’hui au sein du Front National, Monsieur Soral et ses complices détricotent la seule cote de maille qui pouvait protéger nos concitoyens des périls de plus en plus mortels qui les menacent.

Bernard Touchagues

dimanche 21 décembre 2008

Pourquoi soutenir Lang ?


C’est fait ! Au risque d’être incompris, Les nationalistes avec Le Pen soutiennent Lang ! Manque de cohérence ? Justement non ! L’enjeu est suffisamment important pour que notre équipe sorte de son mutisme. Aujourd’hui, l’élection présidentielle est truquée, ce sont les médias qui les organisent. 90% des lois qui passent à l’assemblée nationale sont décidées par les institutions européennes. On vote pour des gens qui n’ont aucun pouvoir. La démocratie n’existe plus et les mondialistes promettent une URSS mondiale ! Notre avenir réside dans des espaces de liberté (cafés, écoles privées, librairies, associations, etc.). La survie de notre peuple passe par sa structuration et son indépendance. Seul, un vaste parti de rassemblement peut permettre de telles actions. Nous ne défendons pas Lang mais le nationalisme. C’est pour cette raison que nous le soutenons aveuglément. Lui seul est un candidat sérieux pour l’avenir de notre camp ! Les beaux discours de la cinquième colonne que représentent Louis Alliot, Alain Soral ou Marine ne nous intéressent plus. Ce qui nous importe, c’est l’intérêt des populations. Lang est notre candidat. Lorsqu’il parle de politique sociale, il est sincère ! C’est de ce genre d’aventurier que notre pays a besoin pour faire face au libéralisme, au capitalisme et au marxisme. « Dire l’intolérable, le peuple vous l’accordera, vous êtes déjà diabolisé, mais faire de la politique politicienne, il ne vous le pardonnera jamais ! » Tout rassembleur sincère doit encourager Carl Lang, plutôt l’union que la division !

À ce titre nous soutiendrons la Vérité quelle qu’elle soit. À ce titre aussi, en fidélité à la politique historique du FN face à l’immigration, le MDI et le BAS sont présent en liens sur notre blog. Pourquoi ? L’intérêt d’un berbère, d’un songhaï ou d’un ouïgour tient dans son enracinement. Ce n’est pas parce que le capital l’a déporté en France et tente de le métisser qu’il n’est plus ce que ses parents en ont fait. Cette société vit de l’esclavage, les nations vivent d’hommes libres. Un arabe doit être fier de son arabité, un noir de sa négritude, un blanc de sa nordicité. Le nationaliste est pour l’autodétermination des peuples et des cultures. Chaque peuple à sa terre et doit pouvoir y vivre libre. L’ennemi c’est l’immigration, pas l’immigré. Ce serait un crime de leur mentir en tentant de les intégrer à un pays qui n’est pas le leur ! C’est pourquoi nous ne pouvons qu’encourager l’initiative du BAS et du MDI. Il est normal que les plus conscients d’entre eux soutiennent notre camp. Seul le gauchiste pense qu’ils sont incapables d’une réflexion indépendante. L’Afrique aux africains, l’Asie aux asiatiques, l’Europe aux européens, la Palestine aux palestiniens, la Russie aux russe, le Kazakhstan aux kazakhs, la France aux français, etc. Pour aimer les autres peuples il faut d’abord aimer le sien ! Si être raciste c’est haïr l’autre, alors le nationaliste ne l’est pas. Est-ce une raison pour nier les différences ? À qui profite le crime ? Pour ce qui est des sionistes : les Attali, les Sarkozy, les BHL et autres Finkielkraut, au nom de quoi devraient-ils nous gouverner ? Oui, les nationalistes soutiennent Lang.

Plus que jamais, la France doit être aux Français :
libre, sociale et nationale !

http://lesnationalistessoutiennentlang.blogspot.com/

post scriptum : ce point de vue n'engage pas Altermedia. L'utilisation du nom "les nationalistes avec Le Pen" est une référence clair à la campagne de 2007. Ce blog est constitué d'une nouvelle équipe et compte, dans un soucis de continuité de combat, apporter tout son soutien à Carl Lang. Considérant que ce dernier est à la situation de 2008/2009, ce que Jean-Marie Le Pen est à celle de 2007.

vendredi 19 décembre 2008

REUNIR - Vers l'Avenir

Jacques Attali ou la folie de notre temps !

Un livre que tout nationaliste doit à tout prix lire :
Jacques Attali ; Une brève histoire de l’avenir ; édition Fayard ; 20 €

L'auteur de ces lignes a récupéré ce livre gratuitement dans les poubelles de Paris du coté du Sentier (il trainait avec « Vivre Ensemble » de Nicolas Sarkozy et des livres de Marx qu'il possédait déjà). Eh bien, il n'a pas été déçu. Jacques Attali a une cosmogonie (vision du monde) propre à sa culture, sa spiritualité quant à elle aboutit à un gnosticisme proche des théories de la kabbale venant, bien entendu, confirmer ses espérances mondialistes. Son scientisme n’est présent que pour une chose : justifier son discours qui n’est autre qu’une amélioration du matérialisme dialectique de Karl Marx (fil conducteur du bouquin du début à la fin) et pour justifier la théorie de « révolution permanente » de Léon Troski dans ce qu’Attali appelle « l’hyperconflit ». (une guerre civile mondiale pour obtenir « l’internationale » : « Ainsi la révolution socialiste devient permanente au sens nouveau et le plus large du terme : elle ne s'achève que dans le triomphe définitif de la nouvelle société sur toute notre planète » Léon Trotski). Ce qui suit n'est qu'une petite partie du livre d'Attali (le reste est pire...) :

Préface :

Jacques Attali raconte ici l’incroyable histoire des cinquante prochaines années telle qu’on peut l’imaginer à partir de tout ce que l’on sait de l’histoire et de la science. Il dévoile la façon dont évolueront les rapports entre les nations et comment les bouleversements démographiques, les mouvements de population, les mutations du travail, les nouvelles formes du marché, le terrorisme, la violence, les changements climatiques, l’emprise croissante du religieux viendront chahuter notre quotidien.

Il révèle aussi comment des progrès techniques stupéfiants bouleverseront le travail, le loisir, l’éducation, la santé, les cultures et les systèmes politiques ; comment des mœurs aujourd’hui considérées comme scandaleuses (ndlr : pédophilie ? zoophilie ?) seront un jour admises.

Il montre enfin qu’il serait possible d’aller vers l’abondance, d’éliminer la pauvreté (les pauvres ?), de faire profiter chacun équitablement des bienfaits de la technologie et de l’imagination marchande, de préserver la liberté de ses propres excès comme de ses ennemis, de laisser aux générations à venir un environnement mieux protégé, de faire naître, à partir de toutes les sagesses du monde, de nouvelles façons de vivre et de créer ensemble.

Avant-propos :

Aujourd’hui se décide ce que sera le monde en 2050 et se prépare ce qu’il sera en 2100. Selon la façon dont nous agissons, nos enfants et nos petits-enfants habiteront un monde vivable ou traverseront un enfer en nous haïssant. Pour leur laisser un planète fréquentable, il nous faut prendre la peine de penser l’avenir, de comprendre d’où il vient et comment agir sur lui. C’est possible : l’Histoire obéit à des lois qui permettent de la prévoir et de l’orienter.

La situation est simple : les forces du marché prennent en main la planète. Ultime expression du triomphe de l’individualisme, cette marche triomphante de l’argent explique l’essentiel des plus récents soubresauts de l’Histoire : pour l’accélérer, pour la refuser, pour la maîtriser.

Si cette évolution va à son terme, l’argent en finira avec tout ce qui peut lui nuire, y compris les Etats, (Nations), qu’il détruira peu à peu, même les Etats-Unis d’Amérique. Devenu la loi unique du monde, le marché formera ce que je nommerai l’hyperempire, insaisissable et planétaire, créateur de richesses marchandes et d’aliénations nouvelles, de fortunes et de misères extrêmes ; la nature y sera mise en coupe réglée ; tout sera privé, y compris l’armée, la police et la justice. L’être humain sera alors harnaché de prothèses avant de devenir lui-même un artefact, vendu en série à des consommateurs devenus eux-mêmes artefacts. Puis l’homme, désormais inutile à ses propres créations, disparaîtra.

Si l’humanité recule devant cet avenir et interrompt la globalisation par la violence avant d’être libérée de ses aliénations antérieurs, elle basculera dans une succession de barbaries régressives et de batailles dévastatrices, utilisant des armes aujourd’hui impensables, opposant Etats, groupement religieux, entités terroristes et pirates privés. Je nommerai cette guerre l’hyperconflit. Il pourrait lui aussi faire disparaître l’humanité.

Enfin, si la mondialisation peut être contenue sans être refusée, si le marché peut être circonscrit sans être aboli, si la démocratie peut devenir planétaire tout en restant conrète, si la domination d’un empire sur le monde peut cesser, alors s’ouvrira un nouvel infini de liberté, de responsabilité, de dignité, de dépassement, de respect de l’autre. C’est ce que je nommerai l’hyperdémocratie. Celle-ci conduira l’installation d’un gouvernement mondial démocratique et d’un ensemble d’institutions locales et régionales. Elle permettra à chacun, par un emploi réinventé des fabuleuses potentialités des prochaines technologie d’aller vers la gratuité et l’abondance, de profiter équitablement des bienfaits de l’imagination marchande, de préserver la liberté de ses propres excès comme de ses ennemis, de laisser aux générations à venir un environnement mieux protégé, de faire naître à partir de toutes les sagesses du monde, de nouvelles façons de vivre et de créer ensemble.

On peut alors raconter l’histoire des cinquante prochaines années : avant 2035, prendra fin la domination de l’empire américain, provisoire comme celle de tous ses prédécesseurs ; puis déferleront l’une après l’autre trois vagues d’avenir ; hyperempire, hyperconflit, puis hyperdémocratie. Deux vagues à priori mortelles. Une troisième a priori impossible

Et je finirais par mon passage préféré : « (Dans l’avenir) le geste d’amour se limitera au geste de la masturbation »… CQFD

Qui se cache derrière Bigard ?

Jorg Haïder a été assassiné : preuve que nous avons raison !

L’affaire Haider ressemble au 11/9 et à l’assassinat de Kennedy. Dans un événement complexe, il est quasi impossible de mentir complètement sur tout. Or un seul mensonge persistant fait vaciller tout le système. Dans l’affaire Kennedy l’un des mensonges persistants fut la tête du président volant en direction de l’arrivée de la balle. Dans l’affaire du 11/9 cet fut un Boing s’étant engouffré à raz du sol dans un trou bien rond d’environ 3 m de diamètre sans laisser aucune pièce en aluminium à l’entrée. Dans l’affaire Haider c’est la voiture qui se serait retournée plusieurs fois alors que le toit n’a aucune trace du dommage provoqué par un retournement. Mais ce n’est que l’un des mensonges, mais un mensonge suffisant prouvant que ceux qui sont chargés de faire l’enquête mentent volontairement et consciemment.

Ci-dessous la traduction du texte, un peu résumée, provenant de
http://dcrs-online.com/polizist-sagt-joerg-haider-wurde-ermordet-200837470
A partir de cette adresse on arrive aussi à une vidéo.

Un policier déclare : Jörg Haider a été assassiné !
par Stefan Marx

Un bon mois après le décès par accident de Jörg Haider, le sujet reste explosif. De nouveaux faits apparaissent qui démontrent que la version officielle de l’accident ne tient pas.

Au niveau mondial et sur le net de nombreuses personnes réfléchissent à cet accident et que certains veulent révéler ce que les mass media retiennent, un échange étrange s’établit entre les mass media et leurs lecteurs.



Il apparaît maintenant que la voiture de Jörg Haider ne s’est pas retournée, ce que DCRS ONLINE avait contesté depuis plusieurs semaines, un témoin apparaît enfin, qui a déclaré :
« …sur le lieu de l’accident, il n’y avait pas de borne à incendie (Hydrant) et pas de femme témoin … ».



Mais il y a plus : après d’intenses recherches DCRS ONLINE a trouvé un policier, un fonctionnaire qui était chargé du cas Haider (mit dem Fall Haider betraut war). Il est le seul, avec l’expert qui avait contredit la thèse du retournement, qui aimerait dire quelque chose :

« ..Jörg Haider a été assassiné…on peut pas juste laisser cette affaire en l’état…ma conscience et mon honneur professionnel me l’interdisent… », déclare ce fonctionnaire que DCRS ONLINE connaît, mais qu’il ne publie pas pour protéger l’informateur.

Mais qui a tué Jörg Haider et pourquoi cet assassiné est-il caché et les assassins protégés ?

« ..Je n’en sais rien, mais aucune enquête n’a été faite en cette direction…Haider devait être rapidement enfoui sous la terre et l’affaire close sans preuves…la hiérarchie et apparemment de très haut est venue de manière constante une pression…le type a été tout simplement victime de son ivresse…des choses qui peuvent arriver…c’est perdre du temps que de vouloir chercher s’il s’agit d’un assassinat.. » a ajouté le fonctionnaire.

Le policier expérimenté exclut qu’il puisse s’agir d’un accident et les déclarations du témoiin Adrian K., qui se trouvait sur les lieux et n’avait pas vu de borne d’incendie — avec laquelle Haider serait entré en collision —, borne que la femme témoin officiel n’aurait pas vu non plus.
Le policier ajoute : « moi non plus je n’ai pas vu de borne à incendie…et je n’ai jamais vu non plus la femme témoin et je commence à douter de son existence… ».



Le policier parle ensuite de sa peur : « j’ai une peur folle…moi-même je ne sais pas exactement de quoi….mais j’ai peur à cause de ce que j’ai dit… ».



Un policier a peur parce qu’il dit la vérité et parce que des autorité et des mass media ont menti éhontément au public. C’est une catastrophe humaine, avec tous les signes d’une dictature.
La vidéo ci-dessous illustre encore une fois les incohérence de l’affaire Jörg Haider :

http://dcrs-online.com/polizist-sagt-joerg-haider-wurde-ermordet-200837470
Auch gut einen Monat nach seinem Ableben sorgt der Unfalltod von Jörg Haider für Zündstoff. Mehr denn je - könnte man sogar sagen - , denn nun kommen Stück für Stück immer mehr Fakten ans Tageslicht, die einen Unfall -zumindest so wie er bisher dargestellt wurde- nahezu unmöglich machen.
http://dcrs-online.com/polizist-sagt-joerg-haider-wurde-ermordet-200837470

jeudi 18 décembre 2008

REUNIR - Vers l'Avenir !

Constitution du nouveau groupe REUNIR Nord-Pas-de-Calais

Prenant acte de sa "suspension" du FRONT NATIONAL et de l'interdiction qui lui est faite "d'utiliser le nom du Front national" et de se "prévaloir de l'appartenance à celui-ci", Carl LANG député au Parlement européen et conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais a, en conséquence, constitué un nouveau groupe d'élus au Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais.

Ce groupe R.E.U.N.I.R (Rassemblement des Elus pour l'Unité Nationale et l'Intérêt Régional) est composé à ce jour de douze conseillers régionaux.

Il entre en fonction pour les séances de débat budgétaire des 17, 18 et 19 décembre du Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais.


"Les chiens aboient, la caravane passe !"

Voici la liste des 11 élus régionaux qui ont déjà donné leur accord pour participer au renouveau dans la Région Nord Pas de Calais.
Marion AUFFRAY, élue du Pas de Calais
Christian BAECKEROOT, élu du NORD
Michelle BEAL, élue du Nord
Philippe BERNARD, élu du Nord
Marie-Paule DARCHICOURT, élue du Pas de Calais
Monique DELEVALLET, élue du Pas de Calais
Claude DERESNES, élu du Nord
Mélanie DISDIER, élue du Nord
François DUBOUT, élu du Pas de Calais
Sylvie LANGLOIS, élue du Nord
Dominique SLABOLEPSZY, élu du Nord
Et bien sûr Carl LANG, qui préside ce nouveau groupe national.
Ces élus font honneur à leur mandat, depuis hier, mercredi, et jusque vendredi, ils sont en séance plénière, dont les débâts portent sur le budget 2009, présenté par l'exécutif socialiste.

mardi 16 décembre 2008

Carl Lang peut refonder l'unité du FN !

Après avoir tout fait pour ne pas laisser les voix se disperser en faveur de la candidature de Jean-Marie Le Pen en 2007, après avoir appelé à voter Ségolène Royal au second tour pour faire barrage au sioniste Nicolas Sarkozy… lesnationalistesaveclepen reviennent. Entourés d’une nouvelle équipe, leur combat actuel est de soutenir l’action de Carl Lang, vu non comme une trahison mais comme un acte de fidélité ! « Seul nous guide l’allégeance au nationalisme, l’opposition au Nouvel ordre mondial et la croyance au seul triomphe de la vérité. »

Bruno Gollnisch et Carl Lang défendent l’âme véritable du Front National. Ils sont les deux engeances d’un Jean-Marie Le Pen triomphant et qui ne recule devant rien. Suite à ce que Carl Lang considère comme anormalité et n’écoutant que son courage il a décidé seul de faire face à Marine Le Pen et aux auteurs du désastre de 2007. Carl Lang, nous te rendons hommage !

Ainsi, dans un souci de franchise total, les auteurs du blog lesnationalistesaveclepen décident de soutenir aveuglément monsieur Carl Lang, tant que :


1. Tout danger ne sera pas écarté quant à une possible perte de ses responsabilités au sein du Front national

2. La situation ne se sera pas éclairée sur le comment et le pourquoi d’un tel désastre actuel.

A cette déclaration, nous tenons à signaler que nous ne cèderons pas à la facilité de croire que la responsabilité en revient aux hommes les plus fidèles. Nous ne voulons qu’une chose : la vérité !

mardi 25 novembre 2008

Catastrophe pour le FN : Martial Bild a démissionné

Nous venons d'apprendre la démission, pour des raison personnelles, de Martial Bild ce matin de toutes ses responsabilités au sein du Front national. Martial Bild était le responsable du FN sur Paris. Nous apprenons aussi que Louis-Armand de Béjarry, membre du comité central du Front national (et ancien responsable national du FNJ), aurait démissionné du poste de secrétaire départemental du FN en Loire-Atlantique.

Selon Libération de ce jour, Bruno Gollnisch aurait aussi envisagé de démissionner mais sa demande aurait été refusée.

http://synthesenationale.hautetfort.com/

dimanche 23 novembre 2008

Pierre Vial apporte son soutien à Carl Lang

Le Front National n’est pas une maison de commerce dont la famille Le Pen serait propriétaire. Le Front National est un mouvement qui appartient à tous ses militants. C’est à eux, dont j’ai longtemps fait partie, que je m’adresse pour les appeler à soutenir l’action de Carl Lang, qui incarne aujourd’hui l’espoir de refondation d’un FN revenant à ses idéaux des origines, qui ont fait son succès quand il traduisait les espérances de tant de Français.

Carl Lang a toujours représenté, au sein du FN, ceux qui se préoccupaient d’une politique sociale digne de ce nom, sur une base clairement hostile à un libéralisme cosmopolite responsable de l’actuelle crise financière et économique, qui va frapper de plein fouet, par le chômage et la précarisation, des millions de familles françaises. L’avenir d’un FN refondé passe par une ligne clairement nationale-populiste, par un combat sans compromis ni concession contre le Système en place et pour une Europe des peuples, puissante et libre donc libérée de la tutelle américaine.

Pierre VIAL

Ancien membre du Bureau Politique du Front National

Conseiller régional de Rhône–Alpes de 1992 à 2004

Président du mouvement Europe-Identité

Carl Lang : Le FN réel contre le FN légal ?



Pour plus d'info : http://www.agence2presse.eu/Videos/Videos.html

Cet homme ne peut trahir !

Cet homme ne peut trahir !

vendredi 21 novembre 2008

Lang - Le Pen - Gollnisch


Qui peut se comparer à ces hommes d'honneur ?!

Hommage à un homme qui ne trahira jamais !

Bruno Gollnisch est un Samuraï, un vrai, jamais il ne trahira le daimyo à qui il a tant sacrifié. Petit rappel de qui est cet homme fidèle à jean-Marie LePen, aujourd'hui mis à l'écart !
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Né en 1950, marié et père de trois enfants, Bruno Gollnisch est issu d'une famille de l'Est de la France, de ces régions qui connaissent le prix de la liberté et de l'indépendance de la nation. En 1870, son trisaïeul, Edmond Gollnisch, futur maire de Sedan, fit face héroïquement aux exigences allemandes quand l'Empereur Napoléon III et l'armée française y furent submergés.Trois fois en un siècle, la maison familiale fut occupée, puis finalement brûlée par l'occupant. L'un de ses arrière-grands-pères, Emile Flourens, ministre des Affaires étrangères, dont le frère Gustave était mort en chef militaire de la Commune, avait fait reculer Bismarck en 1886 et fut l'initiateur de l'alliance franco-russe de 1896.Par son oncle, Paul Viard, ancien doyen de la faculté de droit et député d'Alger, il connaît le drame de millions de nos compatriotes français chrétiens, musulmans, israélites d'Algérie, égorgés ou chassés par les terroristes du FLN, et il en est révolté.Très jeune, il entend parler pour la première fois d'un député courageux qui a préféré s'engager que de rester à l'Assemblée Nationale : un certain Jean-Marie Le Pen.
UNE SOLIDE FORMATION

Après des études à Paris, où il fut primé au Concours Général de la jeunesse francophone, Bruno Gollnisch entama des études supérieures de droit, de sciences politiques et de Langues Orientales , dans l'intention initiale de devenir diplomate.Dès son entrée à la faculté de Nanterre à 17 ans, il assiste au saccage, en 1968, par de jeunes bourgeois gauchistes, des universités nouvelles construites grâce au sacrifice de tous les Français, même les plus modestes.Il conçoit l'horreur du marxisme et des idéologies révolutionnaires. Il réalise la fragilité de nos sociétés modernes, l'embrigadement de la jeunesse par la gauche, le déclin de l'intelligence française, et tout ceci le pousse à s'engager alors dans la vie civique.

A la faculté de Nanterre, Bruno Gollnisch a fait la connaissance de Marie-France et Jean-Pierre Stirbois. Avec eux, il rencontre un homme d'un immense courage qui lutte pour la défense du monde libre contre le communisme : Roger Holeindre.

Un jour, il ira avec eux à une réunion publique. Jean-Marie Le Pen prend la parole. Son choix est fait.
AU SERVICE DE LA PATRIE
En 1971, il interrompt ses études et résilie son sursis pour rejoindre la Marine Nationale.Breveté de Préparation Militaire Supérieure, aspirant dès son incorporation, il devient six mois plus tard le plus jeune officier de sa promotion.
Il sert successivement à l'École des Transmissions, sur le Navire d'Essais de Missiles Henri Poincaré, notamment lors de la Conférence au Sommet entre les Présidents américain Nixon et français Pompidou aux Açores, puis au 2ème Bureau de l'État-major (Opérations-renseignement), sur le Chasseur de Mines Calliope dont il participe à la première croisière, et enfin comme aide de camp du Vice Amiral d'Escadre responsable des Essais de la Flotte.
Toujours fidèle à ses engagements, Bruno Gollnisch est aujourd'hui Capitaine de Frégate de réserve.
AU PAYS DU SOLEIL LEVANT

En 1974, financé par le Ministère des Affaires Étrangères français, il est admis comme attaché de recherche à la Faculté de droit et des Sciences Politiques de la prestigieuse Université de Kyôto au Japon.

UNE CARRIERE UNIVERSITAIRE

Il entame à son retour du Japon une carrière universitaire et libérale. Docteur en droit, lauréat de l'Université de Paris, il devient Conseil juridique puis Avocat. Diplômé des langues orientales (japonais, malais, indonésien), il est l'un des spécialistes français des droits de l'Extrême-Orient.

Après avoir créé le cours de droit des pays d'Extrême-Orient à la faculté de droit de Paris, et celui de droit du Japon à l'Institut des Langues Orientales, il est nommé Maître de Conférences de droit public à l'Université de Metz, puis en 1981 Professeur de langue et de civilisation japonaise à l'Université de Lyon, où il devient peu après le plus jeune doyen de France.

AVEC JEAN-MARIE LE PEN

Son séjour dans la Marine et au Japon puis sa carrière universitaire l'ont éloigné de Paris, mais les amitiés ne s'oublient pas.

En janvier 1984, la presse remarque la présence du doyen Bruno Gollnisch qui accueille Jean-Marie Le Pen au cours d'une triomphale réunion lyonnaise du Front National.

Peu après, Jean-Pierre Stirbois, Secrétaire Général du Front nomme Bruno Gollnisch Secrétaire Départemental du Rhône.

Dans les conditions difficiles d'alors : manifestations hostiles, absence totale de moyens, il organise les européennes de 1984, les cantonales de 1985, les législatives et les régionales de 1986. Il est élu député et conseiller régional.


Pour en savoir plus: http://www.gollnisch.com/