On attendait avec impatience une nouvelle analyse politique de Bernard Touchages... Mais contrairement à d'autres carriéristes, lui fait aussi du terrain ! Ainsi, Les nationalistes avec Lang ont eu la joie de lire ce court récit qui n'est pas digne de désintérêt :
Lors de la réunion du conseil municipal du 20 janvier, j’ai innocemment demandé des éclaircissement au maire adjoint en charge des travaux sur une délibération proposée à l'assemblée.
Il s’agissait d’autoriser la municipalité à engager des dépenses d’investissement sur le budget 2009 avant son vote, pour faire face à un certain nombre de besoins immédiats.
J’ai donc demandé le contenu du programme voirie chiffré à 300 000 euros, la justification de l’achat d’une nouvelle balayeuse pour 120 000 euros, et, habitant le quartier de Vernonnet et curieux de ce qui s’y fait, la localisation des murs mitoyens dont la restauration est prévue Chemin des Haguelets et sente Toufflet.
Quelle fut ma surprise d’entendre M. Leconte s’efforcer de justifier le caractère incontournable de ces dépenses sans founir plus de précision sur la nature du programme voirie et l’identité des murs mitoyens !
Lui demandant de nouveau de bien vouloir satisfaire ma curiosité, il avoua de mauvais gré que le programme de voirie n’était que la poursuite des travaux entamés en 2008. Puis après nouvelle relance, il mit beaucoup de temps à indiquer l’identité du propriétaire du mur mitoyen du chemin des Haguelets.
Enfin, s’offusquant de tant de curiosité sur un tel dossier, il commença a aborder la question du mur de la sente Toufflet puis s’interrompit pour m’accuser de vouloir lui faire dire quelque chose ! « Et bien je vais vous le dire », déclara-t-il, s’emportant pour préciser que ce serait l’occasion de demander aux « collègues » du conseil municipal si l’on ne pouvait réaliser certains travaux dès lors qu’ils concernaient un membre du personnel municipal… sans d’ailleurs nommer celui-ci ni indiquer la localisation précise des travaux concernés !
Quel étonnement fut le mien, et celui de nombreux conseillers autour de la table.
Bien évidemment, les travaux qui s’imposent dans notre ville doivent être réalisés, ou qu’ils soient, même dans la rue du maire ou de l’adjoint aux travaux ! Mais que ce dernier mette autant de mauvaise volonté, dans le cas présent, à satisfaire au plus élémentaire droit d’information d’un conseiller sur la délibération qu’on lui demande de voter laisse perplexe.
Si monsieur Leconte souhaitait que l’on ait désormais des soupçons sur ses critères de choix pour les travaux qu’il engage, il s’y est parfaitement pris !
Donc, à suivre…
Il s’agissait d’autoriser la municipalité à engager des dépenses d’investissement sur le budget 2009 avant son vote, pour faire face à un certain nombre de besoins immédiats.
J’ai donc demandé le contenu du programme voirie chiffré à 300 000 euros, la justification de l’achat d’une nouvelle balayeuse pour 120 000 euros, et, habitant le quartier de Vernonnet et curieux de ce qui s’y fait, la localisation des murs mitoyens dont la restauration est prévue Chemin des Haguelets et sente Toufflet.
Quelle fut ma surprise d’entendre M. Leconte s’efforcer de justifier le caractère incontournable de ces dépenses sans founir plus de précision sur la nature du programme voirie et l’identité des murs mitoyens !
Lui demandant de nouveau de bien vouloir satisfaire ma curiosité, il avoua de mauvais gré que le programme de voirie n’était que la poursuite des travaux entamés en 2008. Puis après nouvelle relance, il mit beaucoup de temps à indiquer l’identité du propriétaire du mur mitoyen du chemin des Haguelets.
Enfin, s’offusquant de tant de curiosité sur un tel dossier, il commença a aborder la question du mur de la sente Toufflet puis s’interrompit pour m’accuser de vouloir lui faire dire quelque chose ! « Et bien je vais vous le dire », déclara-t-il, s’emportant pour préciser que ce serait l’occasion de demander aux « collègues » du conseil municipal si l’on ne pouvait réaliser certains travaux dès lors qu’ils concernaient un membre du personnel municipal… sans d’ailleurs nommer celui-ci ni indiquer la localisation précise des travaux concernés !
Quel étonnement fut le mien, et celui de nombreux conseillers autour de la table.
Bien évidemment, les travaux qui s’imposent dans notre ville doivent être réalisés, ou qu’ils soient, même dans la rue du maire ou de l’adjoint aux travaux ! Mais que ce dernier mette autant de mauvaise volonté, dans le cas présent, à satisfaire au plus élémentaire droit d’information d’un conseiller sur la délibération qu’on lui demande de voter laisse perplexe.
Si monsieur Leconte souhaitait que l’on ait désormais des soupçons sur ses critères de choix pour les travaux qu’il engage, il s’y est parfaitement pris !
Donc, à suivre…
Bernard Touchagues
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