Avant même le lancement de la campagne de Carl Lang, voici la dernière déclaration de Marine Le Pen à propos de Carl Lang et de ses ami(e)s. Lisez bien, vous apprécierez...
« Ils ne se battent que pour prendre le chèque de 5 000 € à la fin du mois ; depuis cinq ans, ils n'ont pas dépensé beaucoup d'énergie sur le terrain. »
Source : http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-En-Normandie-la-guerre-des-deux-FN-_3635-793625_actu.Htm
Quand on sait que, contrairement aux mensonges fantasmagoriques du dernier carré, 80% des élus et militants de la région concernée suivent Carl Lang (tout le monde est au courant en dehors de la secte), que peu d'entres eux ont vu Marine Le Pen depuis cinq ans, en dehors du village sinistré de Hénin-Beaumont, et que Marine Le Pen a un taux de présence d'à peine 50% au Parlement Européen (dernière du classement avec Villiers), quand Carl Lang est dans le peloton de tête, avec une présence de 93% (classement officiel de « L'Express »), on est en droit de pouffer de rire devant de telles sornettes.
Ceci dit, nous retrouvons là toute l'exquise délicatesse, la finesse d'esprit, la légèreté, la grâce et le tact de Marine Le Pen, l'amie de Steeve Briois, l'homme pour qui le FN est une "boutique".
Mais peut être veut-elle dire qu'ils sont des « gagne-petit » avec seulement 5,000 € par mois ?
Il serait intéressant de connaître le montant des chèques que Marine Le Pen touche à la fin de chaque mois. Il est on ne peut plus difficile de savoir précisément ce que gagne Marine Le Pen, c'est un tabou comme pour toute la haute classe politicienne d'ailleurs. De plus, les élites sont très conservatrices et procédurières en la matière. Il faut donc marcher sur des oeufs, d'autant que les sources d'information en la matière sont très rares.
Nous savons que Marine Le Pen est Conseiller Régional d'Ile de France (région de plus de 3 millions d'habitants). A ce titre, son indemnité de base, hors éventuels avantages, est de 2.585,17 € par mois, selon les sources officielles. A cela, il faut ajouter les diverses avantages, les défraiements et le système dit des « jetons de présence », sommes qui ne sont pas soumis aux cotisations sociales.
Marine Le Pen est également Présidente du Groupe FN au Conseil Régional d'Ile de France. A ce titre, elle a droit à des défraiements supplémentaires, le reste étant à la discrétion de chaque groupe et de chaque parti, certains accordant à leur Président(e) de groupe des émoluments supplémentaires.
Nous savons que Marine Le Pen est Conseiller Municipal sur Hénin-Beaumont. A ce titre, elle n'a droit à aucune indemnité, mais légalement, elle peut demander une « compensation des pertes de revenus qu’elle a subit du fait de l’utilisation des crédits d'heure et d'autorisation d'absence ».
Nous savons que Marine Le Pen est Député Européen. A ce titre, la rémunération de base est de 6.952,91 € par mois pour un eurodéputé français. A cela s'ajoute légalement et de plein droit une « Indemnité mensuelle représentative de frais de mandat » de 3.500 € brut par mois + une « Indemnité journalière pour frais de bouche et de logement » de 251 € par jour + les « Remboursements de frais de voyage » (calculés sur une base kilométrique aérienne forfaitaire et en fonction du lieu d'élection).
Certes, Marine Le Pen doit payer son assistant parlementaire européen, plus une secrétaire. On est en droit de penser qu'elle doit également payer sa voiture, son chauffeur, et, pourquoi pas, un garde du corps, ce qui serait somme toute relativement normal.
Nous en sommes tout de même à 13038.08 € brut par mois, plus les 251,00 € par jour « d'indemnité journalière pour frais de bouche et de logement » payée par le Parlement Européen, plus les jetons de présence, le tout sans compter les diverses et différents avantages afférents. (Sources Officielles)
Nous avons trouvé (et enregistré) en archive sur le site « Vérité sur le FN » que Marine Le Pen avait indiqué lors d'une émission de TV qu'elle gagnait « aux alentours des 7.000,00 Euros par mois ». Elle ne pouvait alors parler qu'en « net », hors impôts, hors frais, salaires et charges. D'autant que, selon une source non confirmée, elle serait salariée du FN en tant que Conseillère auprès du Président. Un de nos correspondants nous a promis de nous envoyer une preuve de cela. Nous attendons de la recevoir pour la confirmer et la publier.
Quoi qu'il en soit, Marine Le Pen n'a pas à se plaindre et est loin de la misère. Jean Marie applique à merveille son adage, « Je préfère mes filles à mes cousines, mes cousines à mes voisines, mes voisines à mes lointaines, etc ».
A vrai dire, ce n'est évidemment pas cela que les militants reprochent, ni même qu'un père pense à assurer l'avenir matériel de sa fille, quoi de plus normal après tout. Le Pen a d'ailleurs raison de préciser qu'il n'est pas le premier à faire cela, ajoutant que bien des enfants de journalistes, de membres de la « jet set » ou de personnes politiques succèdent à leurs parents.
Non, le seul et gros reproche qu'on puisse faire à JMLP sur ce domaine là, c'est d'en vouloir plus, de vouloir créer un précédent en plaçant sa fille non seulement à la tête de son parti, mais en plus en tant que représentante, porte parole du Mouvement National et candidate à la Présidentielle.
Qu'elle ait sa place, bien sur, personne n'a jamais été contre, du moins auparavant et avant ses prétentions délirantes, mais tout en haut, NON bien sur, c'est évident ! Non seulement il y a bien meilleur qu'elle, mais comme l'a rappelé avec brio et une logique implacable Carl Lang, à force d'erreurs à répétition, de propos et de fautes politiques coupables, nous n'avons plus du tout aucune confiance en elle, ni sur le plan personnel, ni sur le plan technique, ni sur le plan politique ! Et, comme l'a toujours affirmé Jean Marie Le Pen, la confiance ne se décrète pas, on a ou on a pas confiance, c'est tout !
Si elle avait su rester à sa place, toute sa place mais rien que sa place, il n'y aurait jamais eu de problème. Mais trop c'est trop, et la coupe est pleine. Elle tente de faire passer l'incroyable privilège médiatique dont elle bénéficie pour un dur labeur au service de la (sa) cause. Et bien nous lui disons merci, ou plutôt non merci, et nous préférons suivre Carl Lang.
Maintenant que les ponts ont été rompus, après tout, que le meilleur gagne, et nous verrons bien la situation des uns et des autres à l'automne 2011.
Après le temps des basses attaques et des justes répliques, nous étions de ceux qui pensaient que la séparation pouvait ramener au moins le calme, la sérénité, la raison, et que, sur la base de quelques valeurs communes, nous pouvions dès lors éviter au moins les insultes et réserver les attaques en direction de nos adversaires communs. Et bien non, avec ces gens là c'est chose impossible, et la campagne n'est même pas entamé que Carl Lang et ses ami(e)s ont droit à la calomnie de la vénalité en guise d'objectif politique. Quelle noblesse !
D'accord, nous sommes prévenus de leur état d'esprit. Qu'ils le soient aussi, car à chaque fois qu'il le faudra, dans la dignité comme dans la fermeté, nous rendrons coup pour coup, et largement !
« Ils ne se battent que pour prendre le chèque de 5 000 € à la fin du mois ; depuis cinq ans, ils n'ont pas dépensé beaucoup d'énergie sur le terrain. »
Source : http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-En-Normandie-la-guerre-des-deux-FN-_3635-793625_actu.Htm
Quand on sait que, contrairement aux mensonges fantasmagoriques du dernier carré, 80% des élus et militants de la région concernée suivent Carl Lang (tout le monde est au courant en dehors de la secte), que peu d'entres eux ont vu Marine Le Pen depuis cinq ans, en dehors du village sinistré de Hénin-Beaumont, et que Marine Le Pen a un taux de présence d'à peine 50% au Parlement Européen (dernière du classement avec Villiers), quand Carl Lang est dans le peloton de tête, avec une présence de 93% (classement officiel de « L'Express »), on est en droit de pouffer de rire devant de telles sornettes.
Ceci dit, nous retrouvons là toute l'exquise délicatesse, la finesse d'esprit, la légèreté, la grâce et le tact de Marine Le Pen, l'amie de Steeve Briois, l'homme pour qui le FN est une "boutique".
Mais peut être veut-elle dire qu'ils sont des « gagne-petit » avec seulement 5,000 € par mois ?
Il serait intéressant de connaître le montant des chèques que Marine Le Pen touche à la fin de chaque mois. Il est on ne peut plus difficile de savoir précisément ce que gagne Marine Le Pen, c'est un tabou comme pour toute la haute classe politicienne d'ailleurs. De plus, les élites sont très conservatrices et procédurières en la matière. Il faut donc marcher sur des oeufs, d'autant que les sources d'information en la matière sont très rares.
Nous savons que Marine Le Pen est Conseiller Régional d'Ile de France (région de plus de 3 millions d'habitants). A ce titre, son indemnité de base, hors éventuels avantages, est de 2.585,17 € par mois, selon les sources officielles. A cela, il faut ajouter les diverses avantages, les défraiements et le système dit des « jetons de présence », sommes qui ne sont pas soumis aux cotisations sociales.
Marine Le Pen est également Présidente du Groupe FN au Conseil Régional d'Ile de France. A ce titre, elle a droit à des défraiements supplémentaires, le reste étant à la discrétion de chaque groupe et de chaque parti, certains accordant à leur Président(e) de groupe des émoluments supplémentaires.
Nous savons que Marine Le Pen est Conseiller Municipal sur Hénin-Beaumont. A ce titre, elle n'a droit à aucune indemnité, mais légalement, elle peut demander une « compensation des pertes de revenus qu’elle a subit du fait de l’utilisation des crédits d'heure et d'autorisation d'absence ».
Nous savons que Marine Le Pen est Député Européen. A ce titre, la rémunération de base est de 6.952,91 € par mois pour un eurodéputé français. A cela s'ajoute légalement et de plein droit une « Indemnité mensuelle représentative de frais de mandat » de 3.500 € brut par mois + une « Indemnité journalière pour frais de bouche et de logement » de 251 € par jour + les « Remboursements de frais de voyage » (calculés sur une base kilométrique aérienne forfaitaire et en fonction du lieu d'élection).
Certes, Marine Le Pen doit payer son assistant parlementaire européen, plus une secrétaire. On est en droit de penser qu'elle doit également payer sa voiture, son chauffeur, et, pourquoi pas, un garde du corps, ce qui serait somme toute relativement normal.
Nous en sommes tout de même à 13038.08 € brut par mois, plus les 251,00 € par jour « d'indemnité journalière pour frais de bouche et de logement » payée par le Parlement Européen, plus les jetons de présence, le tout sans compter les diverses et différents avantages afférents. (Sources Officielles)
Nous avons trouvé (et enregistré) en archive sur le site « Vérité sur le FN » que Marine Le Pen avait indiqué lors d'une émission de TV qu'elle gagnait « aux alentours des 7.000,00 Euros par mois ». Elle ne pouvait alors parler qu'en « net », hors impôts, hors frais, salaires et charges. D'autant que, selon une source non confirmée, elle serait salariée du FN en tant que Conseillère auprès du Président. Un de nos correspondants nous a promis de nous envoyer une preuve de cela. Nous attendons de la recevoir pour la confirmer et la publier.
Quoi qu'il en soit, Marine Le Pen n'a pas à se plaindre et est loin de la misère. Jean Marie applique à merveille son adage, « Je préfère mes filles à mes cousines, mes cousines à mes voisines, mes voisines à mes lointaines, etc ».
A vrai dire, ce n'est évidemment pas cela que les militants reprochent, ni même qu'un père pense à assurer l'avenir matériel de sa fille, quoi de plus normal après tout. Le Pen a d'ailleurs raison de préciser qu'il n'est pas le premier à faire cela, ajoutant que bien des enfants de journalistes, de membres de la « jet set » ou de personnes politiques succèdent à leurs parents.
Non, le seul et gros reproche qu'on puisse faire à JMLP sur ce domaine là, c'est d'en vouloir plus, de vouloir créer un précédent en plaçant sa fille non seulement à la tête de son parti, mais en plus en tant que représentante, porte parole du Mouvement National et candidate à la Présidentielle.
Qu'elle ait sa place, bien sur, personne n'a jamais été contre, du moins auparavant et avant ses prétentions délirantes, mais tout en haut, NON bien sur, c'est évident ! Non seulement il y a bien meilleur qu'elle, mais comme l'a rappelé avec brio et une logique implacable Carl Lang, à force d'erreurs à répétition, de propos et de fautes politiques coupables, nous n'avons plus du tout aucune confiance en elle, ni sur le plan personnel, ni sur le plan technique, ni sur le plan politique ! Et, comme l'a toujours affirmé Jean Marie Le Pen, la confiance ne se décrète pas, on a ou on a pas confiance, c'est tout !
Si elle avait su rester à sa place, toute sa place mais rien que sa place, il n'y aurait jamais eu de problème. Mais trop c'est trop, et la coupe est pleine. Elle tente de faire passer l'incroyable privilège médiatique dont elle bénéficie pour un dur labeur au service de la (sa) cause. Et bien nous lui disons merci, ou plutôt non merci, et nous préférons suivre Carl Lang.
Maintenant que les ponts ont été rompus, après tout, que le meilleur gagne, et nous verrons bien la situation des uns et des autres à l'automne 2011.
Après le temps des basses attaques et des justes répliques, nous étions de ceux qui pensaient que la séparation pouvait ramener au moins le calme, la sérénité, la raison, et que, sur la base de quelques valeurs communes, nous pouvions dès lors éviter au moins les insultes et réserver les attaques en direction de nos adversaires communs. Et bien non, avec ces gens là c'est chose impossible, et la campagne n'est même pas entamé que Carl Lang et ses ami(e)s ont droit à la calomnie de la vénalité en guise d'objectif politique. Quelle noblesse !
D'accord, nous sommes prévenus de leur état d'esprit. Qu'ils le soient aussi, car à chaque fois qu'il le faudra, dans la dignité comme dans la fermeté, nous rendrons coup pour coup, et largement !
Source : Tous avec Lang
1 commentaire:
Il est bien sûr entendu que les plus gourmands et ceux qui critiquent le plus leurs petits camarades sont ceux qui émargent le plus.
Quand je pense qu'entre 1998 et 2004, mademoiselle de plaignait de devoir venir de Saint-Cloud à Lille.
Qu'elle reste en Ile de France, elle n'aura pas à faire de longs déplacements.
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