mercredi 28 janvier 2009
Petite touche d'humour palestinienne...

ça tourne pas rond dans le "Carré"
On ne quitte pas le FN, c’est le FN qui vous vire !
Vraie nouveauté pour le Front, ce sont les départs "volontaires", jusqu’à présent c’était la Commission de discipline et de conciliation qui tranchait en suspendant ou excluant les militants. Aujourd’hui, les cadres s’en vont sans rien demander. Martial Bild s’en explique très calmement : "Après de longs mois de réflexion, j’ai pris la décision de quitter le Front National auquel j’appartenais depuis plus de 28 ans. Je n’ai pas changé ! C’est le FN qui a changé dans sa stratégie, sa doctrine et son fonctionnement." Pas de claquements de porte, rien, juste des départs. Ils actent que le "nouveau Front national" proposé par Marine Le Pen ne leurs convient pas. Il est loin le temps ou l’on entendait dans les coursives du Paquebot "bon débarras !", "qu’il s’en aille comme ça, on aura pas besoin de le virer !". Aujourd’hui il s’agit au contraire d’empêcher les défections, de retenir "les cousins de province" qui pourraient être tentés par la dissidence.

Après que le Président de la République française a reçu à l’Elysée le père du soldat franco-israélien Gilad Shalit, la Nouvelle Droite Populaire s’étonne que Monsieur Nicolas Sarkozy paraisse confondre sa fonction de chef de l’Etat français avec celle de Président de l’Etat hébreu.
En effet, si l’angoisse et la démarche du père du soldat Gilad Shalit sont bien compréhensibles s’agissant du sort d’un fils retenu prisonnier du Hamas, il est tout à fait étonnant que le cas d’un militaire servant dans une armée étrangère, en l’occurrence Tsahal, puisse mobiliser les plus hautes instances de l’Etat français, qui devraient avoir en ce moment d’autres soucis et d’autres priorités.
L’avenir et le sort du soldat Shalit, s’agissant d’un soldat israélien, sont du ressort exclusif du gouvernement de Jérusalem, pas de celui de Paris. Cette affaire est emblématique de l’ambiguïté et de l’inanité du statut de binational.
Lettre ouverte d'un jeune dissident aux tenants du Rassemblement des nationaux...

Martial BILD, les nationalistes n'oublieront pas !

Cher(e) ami(e)
Après de longs mois de réflexion, j'ai pris la décision de quitter le Front National auquel j'appartenais depuis plus de 28 ans. Je n'ai pas changé ! C'est le FN qui a changé dans sa stratégie, sa doctrine et son fonctionnement. Aux mains d' un petit clan, le FN ne représente plus une force de rassemblement.
J'ai donc décidé de tourner la page, gardant le silence et me faisant un devoir de ne pas répondre aux insultes et aux anathèmes. J'entends ne pas changer d'attitude en refusant de répliquer à des propos ou des méthodes souvent à l'origine du départ de 80% des cadres du FN en cinq ans. Loin de ces scories, des hommes et des femmes de bonne volonté et désinteressés oeuvrent pour la défense des idées nationales. Ils sont connus de tous. Porteurs d'idées fermes et droites, ils peuvent créer les nécessaires conditions du renouveau.
Avec l'aide de la Providence, le travail exigeant qu'ils mènent sans se préoccuper de feux médiatiques qui aveuglent, portera ses fruits. J'en ai, pour ma part, la conviction.
Martial Bild
mardi 27 janvier 2009
Sarkozy appelle à la dictature mondiale, de gré ou de force !
La manière dont Sarkozy présente le Nouvel Ordre Mondial fait penser au texte de l’éditorialiste du Financial Time, Gideon Rachman, qui a crée la polémique avec son article “and now, for a world government“, qui comme son titre l’indique se fait l’apôtre d’un gouvernement mondial, mais tenez vous bien, non démocratique, parce que sinon ça ne fonctionne pas : “La gouvernance internationale ne tend à être efficace que lorsqu’elle est anti-démocratique“, dit-il avant de conclure : “Tant que personne ne cassera ce problème, ce plan de gouvernement mondial restera sous clé aux Nations Unies“. On apprend donc, une fois de plus que ce projet, celui d'une dictature à l’échelle planétaire existe, les plans sont là !
ndlr : dans la Vidéo, remplacer "force fasciste" par "répression bolchevik"
L'UMP veut faire construire le "Ministère de la Vérité" du livre 1984 de Georges Orwell
Il a trouvé des accents lyriques pour défendre ce premier des six sites choisis pour construire en "hauteur" à Paris et dépasser le plafond de 37 mètres du Plan local d'urbanisme: il s'agit d'un "édifice exceptionnel", d'une "beauté inouïe", a-t-il insisté à propos de cette pyramide très effilée, toute en transparence, située au coeur du parc des Expositions (XVème). Plus de trente ans après la Tour Montparnasse (210 mètres), treize ans après la BNF (80 mètres) et 18 ans après la Tour Cristal du Front de Seine (98 mètres), cette tour sera élevée par l'investisseur Unibail-Rodamco. Elle ne coûtera rien au contribuable parisien, la mairie, qui fournit le terrain, espérant des retombées en termes de développement économique et de création d'emplois (5.000 selon le maire).
Ce sont les architectes suisses Jacques Herzog et Pierre de Meuron (prix Pritzker 2001, le Nobel de l'architecture), déjà auteurs du stade olympique de Pékin, le fameux "nid d'oiseau", et de la Tate Modern à Londres, qui construiront le "Triangle". Déployé sur 70.000 m2, il "obéira strictement aux règles du plan climat de Paris", selon M. Delanoë. Jacques Herzog a précisé qu'il culminera à "moins de 200 mètres de haut", sa forme limitant "l'ombre portée sur les voisins" et qu'il utilisera des capteurs solaires. La tour ne sera pas un bâtiment sur dalle et devrait permettre une continuité de la vie urbaine entre le XVème arrondissement et Issy-les-Moulineaux.
"On veut une tour à taille humaine, quelque chose à la fois audacieux, équilibré et parisien", a déclaré le PDG d'Unibail Guillaume Poitrinal à propos de ce bâtiment qui devrait comprendre des espaces accessibles au public, restaurant, belvédère, jusqu'aux étages élevés...
Il n'a pas précisé le coût du projet qui devrait être réalisé d'ici quatre ans, un "processud'information et de concertation" de la mairie étant prévu à partir du 15 octobre avec notamment deux réunions publiques. Les élus Verts parisiens évoquent le Paris "post pétrole" et dénoncent un projet "pré-ficelé" et "une consultation bidon", rappelant qu'ils avaient demandé un référendum sur les tours.
Le maire UMP du XVème Philippe Goujon estime au contraire que c'est "un très beau projet" qui devra répondre aux conditions de haute qualité environnementale et intégrer des espaces verts. "Pendant la crise économique grave, il faut oser là où on peut continuer à être entreprenants, avec beaucoup de sagesse, avec le sens des réalités, car il ne faut pas mettre en panne notre dynamique pour l'attractivité économique de Paris", a expliqué le maire de la capitale.
Le Conseil de Paris a voté en juillet dernier pour le dépassement du plafond de hauteur de 37 mètres du PLU (jusqu'à 50 mètres pour le logement et au-delà pour les équipements publics et les activités économiques) sur six sites: Bercy-Charenton (XIIe), Masséna-Bruneseau (XIIIe), Porte de Versailles (XVe), Batignolles (XVIIe), Porte de la Chapelle (XVIIIe) et Porte de Montreuil (XXe).
AFP
Intervention de Michel Hubaut : non à l'eurorégionalisme de Bruxelles !

Enchevêtrement des compétences, dilution des responsabilités, explosion de la fiscalité locale, tel est le bilan de la législation sur les collectivités territoriales, mise en œuvre depuis 1982, aussi bien par les socialistes que par les gouvernements RPR-UDF puis UMP. Les grandes lois de décentralisation, depuis celle dite Deferre en 1982-1983, jusqu’à la loi Raffarin du 13 août 2003 n’ont atteint aucun des objectifs affichés : réduire le poids de l’administration et rapprocher les Français des centres de décision. Au contraire, l’empilement des administrations, issus de ces lois : la Commune, l’intercommunalité, le Département, la Région, l’État et aussi l’Europe a considérablement alourdi le poids des bureaucraties et donc compliqué la vie de nos compatriotes, multiplié le nombre de fonctionnaires territoriaux, qui sont désormais près de deux millions et bien sûr augmenté la pression fiscale. Celle-ci est la conséquence de l’accroissement des dépenses publiques locales, 200 milliards d’Euros en 2007, qui depuis 25 ans augmentent plus que la richesse nationale.
Cette mauvaise décentralisation a par ailleurs deux effets pervers.
Le premier est financier, permettant au gouvernement pour éviter la banqueroute, de transférer un nombre croissant de ses charges sur les collectivités territoriales.
Le second effet est idéologique. En détricotant par le bas l’État Français, cette décentralisation fait le jeu des idéologues euro-régionalistes qui veulent enlever à la France les attributs de sa souveraineté nationale pour les donner à Bruxelles alors que la crise économique montre que l’État national constitue notamment pour nos compatriotes les plus modestes, une des meilleures protections.
Aujourd’hui, Sarkozy veut lui aussi donner son nom à une énième Loi sur les collectivités territoriales. Comme Defferre, Pasqua, Chevènement, Voynet, Raffarin, il prétend simplifier le fonctionnement de nos collectivités territoriales, supprimer des dépenses inutiles, renforcer la cohésion nationale. Et comme eux, il obtiendra le résultat inverse, parce que ses véritables motivations sont d’un tout autre ordre.
Elles relèvent tout d’abord de la cuisine politicienne. Ce qu’il présente comme une réforme administrative est aussi et surtout un tripatouillage de la loi électorale destiné, d’une part, à permettre à l’UMP de regagner des régions perdues en 2004, à cause d’un autre tripatouillage électoral, celui de Raffarin, de l’autre, en réduisant encore le scrutin proportionnel, à conforter le duopole partisan UMP-PS. Le débat artificiel animé par le comité Balladur, constitue par ailleurs une manœuvre de diversion, destinée à occulter les sujets qui fâchent : la crise économique bien sûr, mais aussi l’insécurité, l’immigration, le chômage.
La démarche de Sarkozy est aussi idéologique. Lorsque dans son discours du 25 septembre 2008 à Toulon, il proposait la « suppression d’un échelon territorial », le président de la République visait le département, reprenant ainsi une des propositions de l’ancien gourou socialiste de François Mitterrand, Jacques Attali.
Or parmi les trois collectivités, celles qui ont la plus forte identité sont bien sûr la commune, mais aussi le département. Les communes et les départements établis sur des circuits courts de décision, s’ils sont bien gérés, peuvent économiser l’argent des contribuables.
Les régions quant à elles sont plus lointaines, et beaucoup d’entre elles n’ont guère d’identité. Notre région, le Centre, l’illustre de façon presque caricaturale. Malgré tous les efforts dispendieux de communication, à part notre collègue Philippe Vigier du Nouveau Centre, personne ici ne se retrouve dans une identité centriste.
La suppression des départements s’inscrit dans un projet beaucoup plus ambitieux, présenté par Jacques Attali dans chacun de ses livres : un monde composé d’individus, sans attaches, sans famille, sans patrie, des nomades réduits à leur seule dimension économique, celle de consommateurs et de producteurs.
Mais la réforme issue des débats du comité Balladur n’aboutira pas tout de suite à ces solutions radicales. Devant tenir compte des intérêts des féodalités locales, conseils généraux, conseils régionaux, conseils d’agglomération, elle ajoutera au mille feuilles administratif actuel quelques feuilles supplémentaires comme l’intercommunalité qui videront un peu plus de leur substance, mais sans les détruire intégralement, les communes et les départements, au profit des intercommunalités et des régions.
Pour simplifier la vie de nos compatriotes, réduire la fiscalité locale, renforcer la cohésion nationale, une réforme territoriale est nécessaire reposant sur trois principes : la démocratie, la responsabilité et l’identité.
La démocratie suppose l’élection au scrutin proportionnel de toutes les assemblées locales et nationales. Ce scrutin juste, permettant la représentation de tous les courants de pensée oblige, en effet les exécutifs, pour prendre des décisions, à discuter, négocier avec les représentants du peuple. Mais ne vaut-il pas mieux que le débat ait lieu dans les assemblées plutôt que dans la rue ? L’actuel gouvernement, malgré une majorité parlementaire écrasante, est ainsi incapable de réformer l’école. Le scrutin majoritaire assure non pas la stabilité du pays mais son immobilisme.
Le deuxième principe est celui de la responsabilité. Oui, pour éviter les financements croisés, il faut clarifier les compétences entre les collectivités territoriales. Mais celles-ci doivent s’appliquer à rester dans leur domaine de compétence. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, notamment ici. Ainsi, l’enseignement supérieur n’est pas de compétence régionale.
Enfin, le troisième principe est celui de l’identité. Aujourd’hui, il est reproché à la France d’avoir des collectivités territoriales modestes. « Beaucoup de nos communes sont trop petites. Il faut les supprimer », nous est-il affirmé de façon péremptoire. « Beaucoup de nos régions n’ont pas une dimension européenne leur permettant de faire jeu égal avec leurs homologues », est-il répété à satiété.
Regardons justement ce qui se passe chez nos voisins européens. Ainsi les landers allemands ont des dimensions très variables. La Bavière a la taille d’un État moyen, la Sarre celle d’un département français. Le gigantisme n’est pas synonyme d’efficacité. Ainsi, le Japon avec ses 300 000 Km², les deux tiers de la superficie de la France, est encore la deuxième puissance mondiale. La petite cité d’Athènes a plus marqué l’histoire que le gigantesque empire perse.
Ce qui fait la force, la prospérité d’une communauté, c’est le sentiment de partager une même identité. En France, toute réforme territoriale doit reposer sur les communautés enracinées :
les communes héritières de nos paroisses millénaires ;
les départements dont certains, unis par des solidarités historiques et naturelles, comme en Normandie ou en Bretagne, peuvent, s’ils le souhaitent dans des ensembles plus larges ;
et au dessus, au service du bien commun, l’État national qui est la marque du génie millénaire de la France.
Erratum : Dominique SLABOLEPSZY a fait une petite gaffe. Mais qui ne lui pardonnerait pas ?!
Dominique SLABOLEPSZY
Le lapsus des tartuffes

Acte manqué, le lapsus est à la fois un mensonge qui choisit de s'avouer obliquement et un repentir qui s'esquisse dans le déraillement de la langue. En ce sens c'est un hommage que le vice rend involontairement à la vertu.
Nous l'avons noté ici même, jeudi dernier, des organisations juives convoquaient place de la République la classe politique locale pour manifester, sans le dire, son indéfectible soutien à une puissance nucléaire du Proche Orient qui n'est menacée par personne si ce n'est par sa propre hubris. Thème consensuel de cette démonstration, la paix, la tolérance et la convivialité inter communautaire, c'est à dire un fatras de lieux communs couvrant du voile pieux de la morale antiraciste des intentions nettement plus partisanes comme le laissait entendre le libellé d'une invitation dont nous avons éventé le malheureux lapsus.
Dimanche, grâce à Éric Besson, notre collection de dérapages sémantiques s'est enrichie d'une nouvelle perle. Chacun connaît Besson, sorte de Lucky Lucke de la vie politique française. Lui ne tire pas, certes, mais il passe du PS à l'UMP à la vitesse d'une balle de 357 magnum. Pour déroutante qu'elle soit aux yeux de certains cette conversion expresse a au moins une vertu. Elle souligne que les "partis de gouvernement" convergent à ce point, tant dans le style que dans le fond, qu'il est devenu loisible à leurs responsables de tourner casaque au moindre coup de Trafalgar électoral sans pour autant trahir leur maigre capital d'idées. Soit, mais enfin dira-t-on, la décence aurait pu lui dicter un peu de retenue dans la précipitation.
Hélas, la précipitation, c'est justement ça le problème d'Éric Besson.
Bref, son impérieux désir de servir la patrie l'a emporté sur tout le reste et le voici depuis quelques jours confirmé dans son rôle de nouveau baron de la Sarkozie. Haut responsable de l'UMP et désormais ministre de l'immigration et de l'identité nationale. Un poste stratégique où il importe de mitonner au mieux un improbable ragoût fait de carpe et de lapin. Bien sûr ce n'est pas un plat de terroir mais une cuisine toute d'hybridation et tellement tendance. le rôle du chef Besson: faire mijoter des alliages impossibles sans paraître se contredire. En un mot, maintenir tout à la fois les électeurs du Front National dans l'escarcelle présidentielle sans pour autant alarmer plus qu'il n'est raisonnable les angéliques dévots de la diversitude sans frontières et leurs amis de l'hôtellerie-restauration et du BTP.
Dimanche donc, Besson essuyait les plâtres de ses nouvelles fonctions ministérielles au micro du grand jury RTL. Comme le veut la correctitude politique il commençait par y barbouiller un mensonge que sa répétition ânonnante a fini par doter de vraies-fausses lettres de noblesse. "La France, prêchait-il, a été et est toujours une terre d'immigration". Va pour le présent, mais pour ce qui concerne le passé le ministre d'ouverture ment ouvertement. Il suffit pour le constater de se reporter aux quatre tomes de "L'histoire de la population française" parus aux Presses Universitaires de France il y a quelques années. Quoiqu'en disent les falsificateurs cette lecture puisée aux meilleures sources montre qu'entre le VIème et le XIXème siècle l'anthropologie de l'ancienne Gaule ne subit aucune modification de sa substance originelle. Plus d'un millénaire de stabilité donc. Une paille !
Poursuivant sa péroraison, il enchaînait aussitôt: "C'est vrai des temps anciens, tout le monde le sait, des grandes invasions. C'est vrai du XIXème et du XXème siècle, avec les Italiens, les Polonais, d'autres qui se sont intégrés".
Puis survient le déraillement impromptu, la catastrophe langagière, le lapsus qui tue. Tout absorbé par le déroulé de sa grande fresque métisseuse Besson poursuit: "Ensuite, il y a eu à la fois une invasion... euh, euh, une immigration en provenance d'Afrique et du Maghreb". Très pro, la girouette a immédiatement senti la tempête se lever. Quoi ? l'immigration africaine sans laquelle nous serions condamnés à la moisissure, au repli frileux et au déclin de l'esprit (sans parler de celui du foot ball) assimilée tout de go à une invasion ? Il se reprend donc illico: "Non, pas une invasion. Qu'il n'y ait pas de lapsus sur le sujet".
Le boulet de la lucidité est passé très près mais le ministre n'est pas un perdreau de l'année. C'est la grande différence avec les pèlerins de la place de la République. Sentant qu'il frisait le désastre et peut-être même le chômage il s'est repris dans l'instant.
Sa langue a fourché, certes, mais qu'on se le dise, sa pensée n'a pas vacillé. Le lapsus ne passera pas !
Source : Coclés pour la droite strasbourgeoise
Quand le CRIF forme les magistrats français...
