vendredi 6 février 2009

Monseigneur Lefèbvre et la Franc-maçonnerie...






« Combattre la maçonnerie est une oeuvre religieuse et éminemment sociale, parce que cette secte est hostile, non seulement à notre sainte religion dans toutes ses manifestations, mais s’applique à ruiner aussi la tranquillité de l’ordre. Je recommande aux membres de cette ligue de s’intéresser tout spécialement à ces pauvres jeunes gens qui, séduits par d’adroites paroles, se font gloire d’être affiliés à la secte anticléricale, laquelle, sous prétexte de raison et de science, combat directement la foi ». (Saint-Pie X)


« On veut maintenant dialoguer avec les francs-maçons, non seulement dialoguer avec eux, mais permettre aux catholiques de faire partie de la Franc-Maçonnerie. C'est encore un dialogue abominable. Nous savons parfaitement que les personnes qui dirigent la Franc-Maçonnerie, au moins les responsables, sont foncièrement contre Notre-Seigneur Jésus-Christ. Et ces messes noires qu'ils font, ces messes abominables, sacrilèges, horribles qu'ils font. Ce sont des parodies de la messe de Notre-Seigneur! Et ils veulent des hosties consacrées, eux, pour faire ces messes noires! Ils savent que Notre-Seigneur est dans l'Eucharistie, car le diable le sait que Notre-Seigneur est dans l'Eucharistie! Ils ne veulent pas des hosties qui viennent de messes dont ils ne savent pas si le Corps de Notre-Seigneur est là ou pas. Alors, dialoguer avec des gens qui veulent la mort de Notre-Seigneur Jésus-Christ une seconde fois, dans la personne de leurs membres, dans la personne de l'Eglise? Nous ne pouvons pas admettre ce dialogue! Nous savons ce qu'a valu le dialogue avec le diable, le premier dialogue d'Eve avec le diable. Elle nous a perdus, elle nous a mis tous dans l'état de péché, parce qu'elle a dialogué avec le diable. On ne dialogue pas avec le diable. On prêche à tous ceux qui sont sous l'influence du diable, afin qu'ils se convertissent, qu'ils viennent à Notre-Seigneur Jésus-Christ.

On ne dialogue pas avec les communistes. On dialogue avec les personnes. Mais on ne dialogue pas avec l'erreur. Nous verrons ce qui arriverait si les armées groupées derrière le rideau de fer le passaient, si un jour, après les nombreuses séance du Soviet Suprême, si jamais il y avait une voix de majorité, pour que ces armées déferlent sur nos pays, en cinq jours. » (Monseigneur Lefèbvre)

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