Le prochain procès contre un des nervis sionistes qui avaient violemment agressé Ginette Hess Skandrani à son domicile avec des casques le 25 octobre 2006 - les deux autres étant en fuite dans le pays de la barbarie - aura lieu le 3 février à 13 h 30 devant la 15è chambre au Palais de justice de Paris. Celui qui était mineur au moment des faits a été jugé le 18 novembre 2008 et a écopé d'un an de prison avec sursis et cinq ans de mise à l'épreuve, 3000 euros de dommages à verser à la victime et 800 euros de frais de justice. Nous verrons si la justice sera plus sévère avec le deuxième qui était majeur et donc responsable de ses actes au moment des faits.
Le Tagar est la branche étudiante du mouvement sioniste BETAR (Brith Yossef Trumpeldor) crée en 1923 à Riga par Vladimir Zeev Jabotinsky qui avait lutté toute son existence pour la fierté et la supériorité du peuple juif comme en attestent ses paroles : « Même dans la misère, un Hébreu reste un prince : esclave ou vagabond, tu es né prince ceint de la couronne de David. A la lumière ou dans l’obscurité, souviens-toi de la couronne : diadème de fierté et de courage. »
Depuis leur naissance, le Betar et le Tagar et par la suite la Ligue de défense juive qui est leur avorton, se sont fixés pour tâches de lutter pour la supériorité du peuple juif afin de renouer avec la terre de leurs « prétendus ancêtres » Eretz Israël. Le Tagar s’inscrit dans la tradition de l’idéologie sioniste et se veut de lutter contre toutes les formes d’antisémitisme (négationnisme et antisionisme et critiques d’Israël), pour la promotion de l’alyah (le retour des juifs sur une terre où ils n’ont jamais été) et pour la défense de l’intégrité et de la totalité d’un Etat juif.
Le programme consiste à des tests psychométriques et une formation militaire en vue d’intégrer les unités d’élite de l’armée israélienne.
Spécialisé dans les actions coup de poing, le Betar déclaré en France depuis 1929 prétend avoir pour objet le développement physique et intellectuel de la jeunesse juive… Il intervient dans les manifestations de soutien aux Palestiniens , dans les conférences en tabassant les militants ainsi que dans les librairies et radios en cassant les vitrines,ou dans les tribunaux lors des jugements. Il menace tous ceux qui critiquent l’entité sioniste et met souvent ses menaces à exécution.
Proche du Likoud France, il partage un local avec le Tagar à Paris, tous leurs membres sont censés suivre un entraînement à l’autodéfense Il organise également des voyages et des activités qui s’apparentent au scoutisme et aux camps de vacances et propose des stages aux jeunes juifs. . Un programme de volontariat comporte un séjour sur une base de Tsahal, histoire de participer à l’effort national sioniste en allégeant les tâches civiles des soldats israéliens. Le Betar prétend que ses programmes sont enregistrés auprès du ministère de la jeunesse et des sports. Il y a quelques années des paiements de bons de la CAF (caisse d’allocations familiales) étaient acceptés. Nous ne savons pas ce qu’il en est aujourd’hui, après des démentis tardifs de la CAF et du ministère de la jeunesse.
Selon quelques sources policières, une autre organisation considérée comme sioniste radicale est apparue en 2000. La ligue de défense juive (LDJ) filiale française de la Jewish Defense League crée par le rabbin raciste Meir Kahane, chef du mouvement Kach, en 1968 est tout aussi violente et menaçante que le Betar.
Depuis leur naissance, le Betar et le Tagar et par la suite la Ligue de défense juive qui est leur avorton, se sont fixés pour tâches de lutter pour la supériorité du peuple juif afin de renouer avec la terre de leurs « prétendus ancêtres » Eretz Israël. Le Tagar s’inscrit dans la tradition de l’idéologie sioniste et se veut de lutter contre toutes les formes d’antisémitisme (négationnisme et antisionisme et critiques d’Israël), pour la promotion de l’alyah (le retour des juifs sur une terre où ils n’ont jamais été) et pour la défense de l’intégrité et de la totalité d’un Etat juif.
Le programme consiste à des tests psychométriques et une formation militaire en vue d’intégrer les unités d’élite de l’armée israélienne.
Spécialisé dans les actions coup de poing, le Betar déclaré en France depuis 1929 prétend avoir pour objet le développement physique et intellectuel de la jeunesse juive… Il intervient dans les manifestations de soutien aux Palestiniens , dans les conférences en tabassant les militants ainsi que dans les librairies et radios en cassant les vitrines,ou dans les tribunaux lors des jugements. Il menace tous ceux qui critiquent l’entité sioniste et met souvent ses menaces à exécution.
Proche du Likoud France, il partage un local avec le Tagar à Paris, tous leurs membres sont censés suivre un entraînement à l’autodéfense Il organise également des voyages et des activités qui s’apparentent au scoutisme et aux camps de vacances et propose des stages aux jeunes juifs. . Un programme de volontariat comporte un séjour sur une base de Tsahal, histoire de participer à l’effort national sioniste en allégeant les tâches civiles des soldats israéliens. Le Betar prétend que ses programmes sont enregistrés auprès du ministère de la jeunesse et des sports. Il y a quelques années des paiements de bons de la CAF (caisse d’allocations familiales) étaient acceptés. Nous ne savons pas ce qu’il en est aujourd’hui, après des démentis tardifs de la CAF et du ministère de la jeunesse.
Selon quelques sources policières, une autre organisation considérée comme sioniste radicale est apparue en 2000. La ligue de défense juive (LDJ) filiale française de la Jewish Defense League crée par le rabbin raciste Meir Kahane, chef du mouvement Kach, en 1968 est tout aussi violente et menaçante que le Betar.
Paris, 30 janvier 2009
Ginette Hess Skandrani
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