Au sein de la société actuelle, le nationaliste possède une mission. Il lui faut agir pour repousser les frontières de la liberté de penser. Il doit asséner la vérité au maximum. C’est à lui d’étendre toujours plus le champ d’action des esprits libres. La vérité est incompatible avec les valeurs capitalistes et marxistes. C’est elle qui fera imploser le pharisaïsme des temps modernes. En parallèle, le patriote doit créer des structures sociales libres. De cette manière, l’ordre naturel se rétablira. Le nationalisme c'est la civilisation, le mondialisme c'est la décadence.
En ce sens, l’élection présidentielle de 2007 était une chance. Un score important aurait pu servir nos rangs. Il aurait pu rappeler la « victoire » de 2002. Comment ne pas se souvenir de cette courte mais efficace libération des consciences ? Ah… L’entre-deux tours ! Les manifestations anti-Le Pen prenaient un coté grotesque. Les professeurs expulsaient (comme d’habitude) les élèves des classes pour « lutter contre la bête immonde ». Des enfants de 8 ans portaient des pancartes « Le Pen une balle, le Fn une rafale » bien trop lourdes pour eux. On pouvait annoncer à son voisin que l’on votait FN. Ulcéré, il l’était encore plus lorsque son épicier lui avouait faire pareil ! Mieux, les anti-Le Pen se plaignaient des anti-Le Pen. L’espoir fut grand, il fut beau. On se rêvait à foutre dehors tous ces pilleurs qui gouvernent encore ce pays. Mais… qu’en reste-t-il ? Quelque soit notre avis sur la campagne de 2007, Jean-Marie était notre seul candidat. Mégret lui-même a rejoint cette position. L’union des patriotes était une bénédiction et une réalité. Elle fut malheureusement conspuée puis brisée. L’intelligentsia nationale laissa beaucoup parler les anti-Le Pen de la mouvance, au détriment de ceux qui le défendaient. Associée à la campagne mariniste de « la beurette », le mélange fut explosif. En paye-t-on actuellement les conséquences ?
Bizarrement, cette ligne éditoriale que l’on pouvait justifier dans le cadre de l’élection de 2007, se poursuit. Il semblerait que l’intelligentsia nationale en prenne désormais le parti. Y a-t-il eu, entre temps, une réorganisation des médias nationaux ? Ou bien serait-ce toujours aux épurateurs d’avoir le dernier mot ? Oh, j’en conviens, notre prise de position pour Carl Lang est risquée. Au même titre, il était risqué de soutenir Le Pen en 2007. Mais il avait besoin de nous, nos idées avaient besoin de lui. Des hommes comme Le Pen ou Jörg Haider sont vitaux à la liberté d’expression. Peu de gens le réalisent, y compris dans nos rangs. Sans eux, elle aurait reculée plus vite qu’elle ne l’a fait. Toutes ces paroles jugées provocatrices, toujours désavouées par les mêmes, furent parfaitement salutaires. Nos idées sont la dernière opposition des hommes libres. Alain Taillepied, responsable DPS (pro-Lang), l’a parfaitement rappelé : des hommes sont morts pour nos idées. Et ça ne se passait pas il y a 60, 100 ou 200 ans. Ça se passait il y a tous justes 10 ans. Récemment encore, le jeune Thomas a faillit être assassiné parce que militant au Renouveau Français.
Alors qu’est-ce qui importe le plus ? Suivre une énième fois l’avis médiatique ou défendre Carl Lang ? Lutter pour un FN light, en éternelle voie de dédiabolisation et d’épuration, ou servir nos idées au nom d’une provocante liberté ? Tous les évènements de ces dernières années l’ont démontré, la fidélité revient à Carl Lang. Il suffit de comparer les biographies. Comme lui, nous restons fidèles à un homme avec qui nous avons désormais un désaccord. On ne peut accepter la succession familiale. Se serait un meurtre intellectuel que de le faire. Nos idées valent plus que leurs profits. Le Pen n’appartient pas à Le Pen. Il appartient au peuple ! Le Front National a lutté pour ça. Les militants ont parlé, les expulser du mouvement ne sert à rien. Aussi vrai que l’UMP n’est pas le MPF, Marine n’est pas Jean-Marie Le Pen. Ce n’est pas le groupe France-Israël qui dira le contraire. Eh oui, comme l’a rappelé le président du FN : « Le FN est le syndicat de tous les Français ! ». Ce n’est pas un parti comme les autres. Il ne doit pas le devenir. La France est blanche, de civilisation catholique et de culture grecque et latine. Si même De Gaulle en était conscient, au nom de qui devrions-nous la trahir ? C’est que, comme disait Scarlett O’hara : « La terre, elle, ne ment pas ! »
En ce sens, l’élection présidentielle de 2007 était une chance. Un score important aurait pu servir nos rangs. Il aurait pu rappeler la « victoire » de 2002. Comment ne pas se souvenir de cette courte mais efficace libération des consciences ? Ah… L’entre-deux tours ! Les manifestations anti-Le Pen prenaient un coté grotesque. Les professeurs expulsaient (comme d’habitude) les élèves des classes pour « lutter contre la bête immonde ». Des enfants de 8 ans portaient des pancartes « Le Pen une balle, le Fn une rafale » bien trop lourdes pour eux. On pouvait annoncer à son voisin que l’on votait FN. Ulcéré, il l’était encore plus lorsque son épicier lui avouait faire pareil ! Mieux, les anti-Le Pen se plaignaient des anti-Le Pen. L’espoir fut grand, il fut beau. On se rêvait à foutre dehors tous ces pilleurs qui gouvernent encore ce pays. Mais… qu’en reste-t-il ? Quelque soit notre avis sur la campagne de 2007, Jean-Marie était notre seul candidat. Mégret lui-même a rejoint cette position. L’union des patriotes était une bénédiction et une réalité. Elle fut malheureusement conspuée puis brisée. L’intelligentsia nationale laissa beaucoup parler les anti-Le Pen de la mouvance, au détriment de ceux qui le défendaient. Associée à la campagne mariniste de « la beurette », le mélange fut explosif. En paye-t-on actuellement les conséquences ?
Bizarrement, cette ligne éditoriale que l’on pouvait justifier dans le cadre de l’élection de 2007, se poursuit. Il semblerait que l’intelligentsia nationale en prenne désormais le parti. Y a-t-il eu, entre temps, une réorganisation des médias nationaux ? Ou bien serait-ce toujours aux épurateurs d’avoir le dernier mot ? Oh, j’en conviens, notre prise de position pour Carl Lang est risquée. Au même titre, il était risqué de soutenir Le Pen en 2007. Mais il avait besoin de nous, nos idées avaient besoin de lui. Des hommes comme Le Pen ou Jörg Haider sont vitaux à la liberté d’expression. Peu de gens le réalisent, y compris dans nos rangs. Sans eux, elle aurait reculée plus vite qu’elle ne l’a fait. Toutes ces paroles jugées provocatrices, toujours désavouées par les mêmes, furent parfaitement salutaires. Nos idées sont la dernière opposition des hommes libres. Alain Taillepied, responsable DPS (pro-Lang), l’a parfaitement rappelé : des hommes sont morts pour nos idées. Et ça ne se passait pas il y a 60, 100 ou 200 ans. Ça se passait il y a tous justes 10 ans. Récemment encore, le jeune Thomas a faillit être assassiné parce que militant au Renouveau Français.
Alors qu’est-ce qui importe le plus ? Suivre une énième fois l’avis médiatique ou défendre Carl Lang ? Lutter pour un FN light, en éternelle voie de dédiabolisation et d’épuration, ou servir nos idées au nom d’une provocante liberté ? Tous les évènements de ces dernières années l’ont démontré, la fidélité revient à Carl Lang. Il suffit de comparer les biographies. Comme lui, nous restons fidèles à un homme avec qui nous avons désormais un désaccord. On ne peut accepter la succession familiale. Se serait un meurtre intellectuel que de le faire. Nos idées valent plus que leurs profits. Le Pen n’appartient pas à Le Pen. Il appartient au peuple ! Le Front National a lutté pour ça. Les militants ont parlé, les expulser du mouvement ne sert à rien. Aussi vrai que l’UMP n’est pas le MPF, Marine n’est pas Jean-Marie Le Pen. Ce n’est pas le groupe France-Israël qui dira le contraire. Eh oui, comme l’a rappelé le président du FN : « Le FN est le syndicat de tous les Français ! ». Ce n’est pas un parti comme les autres. Il ne doit pas le devenir. La France est blanche, de civilisation catholique et de culture grecque et latine. Si même De Gaulle en était conscient, au nom de qui devrions-nous la trahir ? C’est que, comme disait Scarlett O’hara : « La terre, elle, ne ment pas ! »
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