vendredi 21 novembre 2008

Hommage à un homme qui ne trahira jamais !

Bruno Gollnisch est un Samuraï, un vrai, jamais il ne trahira le daimyo à qui il a tant sacrifié. Petit rappel de qui est cet homme fidèle à jean-Marie LePen, aujourd'hui mis à l'écart !
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Né en 1950, marié et père de trois enfants, Bruno Gollnisch est issu d'une famille de l'Est de la France, de ces régions qui connaissent le prix de la liberté et de l'indépendance de la nation. En 1870, son trisaïeul, Edmond Gollnisch, futur maire de Sedan, fit face héroïquement aux exigences allemandes quand l'Empereur Napoléon III et l'armée française y furent submergés.Trois fois en un siècle, la maison familiale fut occupée, puis finalement brûlée par l'occupant. L'un de ses arrière-grands-pères, Emile Flourens, ministre des Affaires étrangères, dont le frère Gustave était mort en chef militaire de la Commune, avait fait reculer Bismarck en 1886 et fut l'initiateur de l'alliance franco-russe de 1896.Par son oncle, Paul Viard, ancien doyen de la faculté de droit et député d'Alger, il connaît le drame de millions de nos compatriotes français chrétiens, musulmans, israélites d'Algérie, égorgés ou chassés par les terroristes du FLN, et il en est révolté.Très jeune, il entend parler pour la première fois d'un député courageux qui a préféré s'engager que de rester à l'Assemblée Nationale : un certain Jean-Marie Le Pen.
UNE SOLIDE FORMATION

Après des études à Paris, où il fut primé au Concours Général de la jeunesse francophone, Bruno Gollnisch entama des études supérieures de droit, de sciences politiques et de Langues Orientales , dans l'intention initiale de devenir diplomate.Dès son entrée à la faculté de Nanterre à 17 ans, il assiste au saccage, en 1968, par de jeunes bourgeois gauchistes, des universités nouvelles construites grâce au sacrifice de tous les Français, même les plus modestes.Il conçoit l'horreur du marxisme et des idéologies révolutionnaires. Il réalise la fragilité de nos sociétés modernes, l'embrigadement de la jeunesse par la gauche, le déclin de l'intelligence française, et tout ceci le pousse à s'engager alors dans la vie civique.

A la faculté de Nanterre, Bruno Gollnisch a fait la connaissance de Marie-France et Jean-Pierre Stirbois. Avec eux, il rencontre un homme d'un immense courage qui lutte pour la défense du monde libre contre le communisme : Roger Holeindre.

Un jour, il ira avec eux à une réunion publique. Jean-Marie Le Pen prend la parole. Son choix est fait.
AU SERVICE DE LA PATRIE
En 1971, il interrompt ses études et résilie son sursis pour rejoindre la Marine Nationale.Breveté de Préparation Militaire Supérieure, aspirant dès son incorporation, il devient six mois plus tard le plus jeune officier de sa promotion.
Il sert successivement à l'École des Transmissions, sur le Navire d'Essais de Missiles Henri Poincaré, notamment lors de la Conférence au Sommet entre les Présidents américain Nixon et français Pompidou aux Açores, puis au 2ème Bureau de l'État-major (Opérations-renseignement), sur le Chasseur de Mines Calliope dont il participe à la première croisière, et enfin comme aide de camp du Vice Amiral d'Escadre responsable des Essais de la Flotte.
Toujours fidèle à ses engagements, Bruno Gollnisch est aujourd'hui Capitaine de Frégate de réserve.
AU PAYS DU SOLEIL LEVANT

En 1974, financé par le Ministère des Affaires Étrangères français, il est admis comme attaché de recherche à la Faculté de droit et des Sciences Politiques de la prestigieuse Université de Kyôto au Japon.

UNE CARRIERE UNIVERSITAIRE

Il entame à son retour du Japon une carrière universitaire et libérale. Docteur en droit, lauréat de l'Université de Paris, il devient Conseil juridique puis Avocat. Diplômé des langues orientales (japonais, malais, indonésien), il est l'un des spécialistes français des droits de l'Extrême-Orient.

Après avoir créé le cours de droit des pays d'Extrême-Orient à la faculté de droit de Paris, et celui de droit du Japon à l'Institut des Langues Orientales, il est nommé Maître de Conférences de droit public à l'Université de Metz, puis en 1981 Professeur de langue et de civilisation japonaise à l'Université de Lyon, où il devient peu après le plus jeune doyen de France.

AVEC JEAN-MARIE LE PEN

Son séjour dans la Marine et au Japon puis sa carrière universitaire l'ont éloigné de Paris, mais les amitiés ne s'oublient pas.

En janvier 1984, la presse remarque la présence du doyen Bruno Gollnisch qui accueille Jean-Marie Le Pen au cours d'une triomphale réunion lyonnaise du Front National.

Peu après, Jean-Pierre Stirbois, Secrétaire Général du Front nomme Bruno Gollnisch Secrétaire Départemental du Rhône.

Dans les conditions difficiles d'alors : manifestations hostiles, absence totale de moyens, il organise les européennes de 1984, les cantonales de 1985, les législatives et les régionales de 1986. Il est élu député et conseiller régional.


Pour en savoir plus: http://www.gollnisch.com/



1 commentaire:

ericrainsart a dit…

En tant qu'ancien cadre d'Ordre Nouveau et membre fondateur du FN,un des premiers militants aussi,à l'époque groupusculaire,j'ai toujours depuis,voter et fait voter FN.
Pendant 30 ans,je n'ai jamais écrit quoi que ce soit qui puisse diviser.
Marine Le Pen,que j'ai porté sur mes genoux à La Trinité à la fin des années 70 (si!si!) est tout sauf une militante nationaliste.
Elle n'est pas catholique,comme moi, ni nationaliste révolutionnaire ,comme moi itou.
Je ne connais pas le camarade Lang,mais il me semble qu'il est dans la ligne des héros qui nous ont touT transmis.
Un parti politique bourgeois qui finira dans la soumission et la trahison ne m'intéresse pas.
Pour la première fois depuis quarante ans,je ne voterai plus pour des mouvements nationalistes qui ne rêvent que de finir comme le CNI ou l'UMP.
Amitiés nationalistes à ceux qui se reconnaîtront dans ces lignes.