
Sous cette banderole se rassemblaient les membres du centre Zahra France (association musulmane plus que modérée et majoritairement composée de femmes et d'enfants), ces derniers étaient d'ailleurs fort reconnaissables. C'est alors que surgit un groupe d'une centaine d'individus (tenues noires et brassards jaune) pour agresser les manifestants. Les coups de barres de fer et de gaz lacrymogénes pleuvent. Il faudra l'arrivée et le renfort des sympathisants et membres masculins du centre Zahra et du Parti Anti Sioniste pour que les forces de police présentes sur place interviennent. Ces derniers n'ont pas interpellés les agresseurs mais les victimes et les manifestants immigrés venus en découdre. Les nationalistes, eux, sont encerclés par la police !
Quelques instants plus tard le cortége du FUCS (Front Uni Contre le Sionisme) se forme enfin, avec des militants de notre famille de pensée. Aprés quelques dizaines de mètres de marche, les mêmes agresseurs interviennent pour rééditer leur exploit, aidés par une nouvelle intervention de l'unité anti-émeute (encerclant le cortége afin de l'empécher de participer à la manifestation)
Il n'aura échappé à personne qu'étant donné le profil des victimes, cette attaque ressemblait à celles de la LDJ ou du Betar... Il s'avére en fait que tout a été organisé par la CNT et les antifachistes parisiens (avec la connivence évidente, et plus que prouvée dans les faits, de la préfecture de police).
Ainsi, la CNT, sous-entendre également le RASH, le SCALP (SCALP/REFLEX financés entre autres par le Conseil mondial des églises Vatican II et les ministères de l'intérieur britannique et néerlandais), la JEUNE GARDE, etc. seraient-ils devenus les bras droits des milices sionistes, en plus d'être des auxiliaires de l'Etat sarkozyste ? Un fait fortement révélateur, même si cette réalité n'était déjà plus a prouver.
Désormais, quand un musulman modéré se retrouvera nez à nez avec un militant de la CNT, il sait ce qu'il lui restera à faire (surtout ne pas prévenir la police) !
Les Nationalistes avec Lang
Julien Terzics (chef du Service d'Ordre de la CNT) posant avec son groupe de musique.
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